« Maman j'ai envie de vomir ! »
date 24/08/2024 - 19:33 | micro_reportage Perrine Martin
Le journaliste Pierre Lefebvre de l'Automobile Magazine rappelle à notre mémoire ces souvenirs de longs trajets en voiture et les nausées qui venaient avec. Les personnes ayant connu les suspensions oléopneumatiques s'en souviendront sûrement très bien…
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"Maman j'ai envie de vomir !"
"Maman j'ai envie de vomir !"
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Qui n'a jamais été malade en voiture quand il était petit ? Les voitures sont de plus en plus adaptées au confort des passagers, mais certains cas sont inévitables, comme les routes de montagne qui « sont extrêmement sinueuses et on se fait ballotter », explique Pierre Lefebvre, de l'Automobile Magazine.
Mais l'une des technologies qui a fait le plus de victimes, ce sont les suspensions oléopneumatiques d'une certaine marque aux chevrons. Ce qui rappelle une anecdote au journaliste : « Mes parents avaient une CX, donc j'ai été un petit peu élevé et baigné là-dedans. Personnellement, c'est une voiture qui ne m'a jamais rien fait, je dormais tranquillement à l'arrière quand on allait en Bretagne. En revanche, c'était une voiture qui terrorisait totalement mes cousins, mes tantes. Ils étaient vraiment malades, c'était horrible. » En effet, les suspensions oléopneumatiques étaient particulièrement marquées chez les Citroën. « En tout cas, elles avaient la réputation de rendre les passagers malades », affirme le journaliste.
Pour remédier à ce problème, il y a eu, pendant de très nombreuses années, des gadgets proposés aux automobilistes. « Je pense notamment aux languettes en plastique qui touchaient le sol » mais c'était « de la poudre de perlimpinpin pour empêcher d'avoir le mal des transports », poursuit-il. Alors, « pour limiter la casse, le mieux c'est de regarder la route et puis de regarder le paysage aussi, parce que c'est chouette la route » conclut Pierre Lefebvre.
Mais l'une des technologies qui a fait le plus de victimes, ce sont les suspensions oléopneumatiques d'une certaine marque aux chevrons. Ce qui rappelle une anecdote au journaliste : « Mes parents avaient une CX, donc j'ai été un petit peu élevé et baigné là-dedans. Personnellement, c'est une voiture qui ne m'a jamais rien fait, je dormais tranquillement à l'arrière quand on allait en Bretagne. En revanche, c'était une voiture qui terrorisait totalement mes cousins, mes tantes. Ils étaient vraiment malades, c'était horrible. » En effet, les suspensions oléopneumatiques étaient particulièrement marquées chez les Citroën. « En tout cas, elles avaient la réputation de rendre les passagers malades », affirme le journaliste.
Pour remédier à ce problème, il y a eu, pendant de très nombreuses années, des gadgets proposés aux automobilistes. « Je pense notamment aux languettes en plastique qui touchaient le sol » mais c'était « de la poudre de perlimpinpin pour empêcher d'avoir le mal des transports », poursuit-il. Alors, « pour limiter la casse, le mieux c'est de regarder la route et puis de regarder le paysage aussi, parce que c'est chouette la route » conclut Pierre Lefebvre.
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