Anxiety : le morceau ‘‘home made’’ de doechii devenu numéro un mondial
date 21/05/2025 - 14:41 | micro_reportage La rédaction
Initialement postée sur YouTube en 2019, la chanson Anxiety de Doechii devient virale des années plus tard. Réenregistrée en 2025, elle explose sur les plateformes de streaming et dans les classements mondiaux. Ce succès inédit est accompagné d’un clip visuellement marquant.

Image Youtube
Il y a quatre ans, Doechii, la Swamp Princess, posait sa voix sur une instru familière, seule devant son ordinateur. La mélodie ? Celle de Somebody That I Used to Know de Gotye, elle-même inspirée du morceau Seville de Luiz Bonfá, sorti en 1967. Le résultat : Anxiety, une chanson brute et personnelle, postée sur YouTube en novembre 2019.
À l’époque, personne ne pouvait prédire l’ampleur que prendrait ce morceau. Propulsé par les réseaux sociaux, remixé, Anxiety finit par s’imposer. Réenregistré en studio, il est publié le 4 mars 2025 par Top Dawg Entertainment et Capitol Records. Le morceau atteint la première place des charts en Australie, Grèce, Nouvelle-Zélande, Suisse et Lettonie, et s’impose dans le top 10 d’une douzaine d'autres pays, dont la France.
Le clip officiel, sorti en parallèle, contribue à l'engouement. Réalisé par Kalia Jones, il mêle esthétique anxiogène et imagerie onirique : couloirs sans fin, miroirs déformants, couleurs saturées. Doechii y alterne scènes de solitude, chorégraphies saccadées et plans tournés en intérieur, reflétant l’ambivalence du titre. On y perçoit des références directes à la pop culture, à David Lynch ou encore à des clips de Missy Elliott.
Anxiety est un titre introspectif, centré sur le poids de la célébrité, la paranoïa et le trouble intérieur. Doechii y décrit un état d’alerte permanent, nourri par l’exposition médiatique, les attentes du public et ses propres doutes. À travers des paroles comme « Qu'y a-t-il dans ce nouvel ordre mondial ? » ou « Somebody's watching me », elle évoque une perte de repères et une surveillance constante. Entre cri personnel et constat générationnel, la chanson aborde avec justesse les angoisses d’une artiste contemporaine en pleine ascension.
Le morceau, désormais ajouté en bonus à sa mixtape Alligator Bites Never Heal, confirme l’ampleur musical d’une artiste qui transforme ses vulnérabilités en puissance. Il est à écouter sur le 107.7 et ses webradios.
À l’époque, personne ne pouvait prédire l’ampleur que prendrait ce morceau. Propulsé par les réseaux sociaux, remixé, Anxiety finit par s’imposer. Réenregistré en studio, il est publié le 4 mars 2025 par Top Dawg Entertainment et Capitol Records. Le morceau atteint la première place des charts en Australie, Grèce, Nouvelle-Zélande, Suisse et Lettonie, et s’impose dans le top 10 d’une douzaine d'autres pays, dont la France.
Le clip officiel, sorti en parallèle, contribue à l'engouement. Réalisé par Kalia Jones, il mêle esthétique anxiogène et imagerie onirique : couloirs sans fin, miroirs déformants, couleurs saturées. Doechii y alterne scènes de solitude, chorégraphies saccadées et plans tournés en intérieur, reflétant l’ambivalence du titre. On y perçoit des références directes à la pop culture, à David Lynch ou encore à des clips de Missy Elliott.
Anxiety est un titre introspectif, centré sur le poids de la célébrité, la paranoïa et le trouble intérieur. Doechii y décrit un état d’alerte permanent, nourri par l’exposition médiatique, les attentes du public et ses propres doutes. À travers des paroles comme « Qu'y a-t-il dans ce nouvel ordre mondial ? » ou « Somebody's watching me », elle évoque une perte de repères et une surveillance constante. Entre cri personnel et constat générationnel, la chanson aborde avec justesse les angoisses d’une artiste contemporaine en pleine ascension.
Le morceau, désormais ajouté en bonus à sa mixtape Alligator Bites Never Heal, confirme l’ampleur musical d’une artiste qui transforme ses vulnérabilités en puissance. Il est à écouter sur le 107.7 et ses webradios.