Au cinéma le 16 février
date 11/02/2022 - 10:35 | micro_reportage Ivan Mouton
Après ‘‘La loi du marché’’ et ‘‘En guerre’’, le réalisateur Stéphane Brizé poursuit son exploration du monde impitoyable de l'entreprise dans ‘‘Un Autre Monde". Quant à ’’La Vraie Famille'', il s'inspire de la vraie vie du réalisateur Fabien Gorgeart. Comme les héros de son film, ses parents étaient famille d'accueil.
Un Autre Monde
Drame réalisé par Stéphane Brizé avec Vincent Lindon, Sandrine Kiberlain, Anthony Bajon
Philippe Lemesle, 57 ans, cadre dirigeant dans un groupe industriel américain, une femme, deux enfants, une belle maison, une belle voiture… Derrière l'image… la réalité. Depuis des années, les exigences de rentabilité demandées par l'entreprise lui pèsent, perturbant par ricochet l'équilibre familial. Lorsque Claire demande le divorce et que la maison mère exige un nouveau plan de restructuration, la pression devient trop lourde.
Philippe Lemesle, 57 ans, cadre dirigeant dans un groupe industriel américain, une femme, deux enfants, une belle maison, une belle voiture… Derrière l'image… la réalité. Depuis des années, les exigences de rentabilité demandées par l'entreprise lui pèsent, perturbant par ricochet l'équilibre familial. Lorsque Claire demande le divorce et que la maison mère exige un nouveau plan de restructuration, la pression devient trop lourde.
La Vraie Famille
Drame réalisé par Fabien Gorgeart avec Mélanie Thierry, Lyes Salem, Félix Moati
Anna, 34 ans, vit avec son mari, ses deux petits garçons et Simon, un enfant placé chez eux par l’Assistance Sociale depuis l’âge de 18 mois, qui a désormais 6 ans. Un jour, le père biologique de Simon exprime le désir de récupérer la garde de son fils. C’est un déchirement pour Anna, qui ne peut se résoudre à laisser partir celui qui l’a toujours appelée « Maman ».
Anna, 34 ans, vit avec son mari, ses deux petits garçons et Simon, un enfant placé chez eux par l’Assistance Sociale depuis l’âge de 18 mois, qui a désormais 6 ans. Un jour, le père biologique de Simon exprime le désir de récupérer la garde de son fils. C’est un déchirement pour Anna, qui ne peut se résoudre à laisser partir celui qui l’a toujours appelée « Maman ».
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