Cyril Dion, un « Animal » comme les autres
date 30/11/2021 - 21:01 | micro_reportage Virginie Decorte
Après « Demain » en 2015, l'écrivain et réalisateur sort son deuxième film, un documentaire sur la relation entre l’humanité et le monde vivant qui l’entoure.

© Patrick Swirc
Cyril Dion, un "Animal" comme les …
Cyril Dion, un "Animal" comme les autres
play
0:00
0:00
volume-high
Après avoir exploré des solutions pour le monde de « Demain » dans son premier film, Cyril Dion questionne cette fois la relation de l’humanité avec le monde animal. Le réalisateur et militant écologiste affirme que le point de départ de ce documentaire pourrait se résumer à « la question de savoir comment on pourrait habiter cette planète, pas en détruisant le vivant, mais plutôt en le défendant, voire en l’enrichissant ».
« En réalité, si on peut respirer, manger, boire, c’est parce que le monde vivant existe […] donc si on ne se préoccupe pas du monde vivant, il va se préoccuper de nous et ça risque de mal finir », explique Cyril Dion. L’écrivain, poète et réalisateur qui raconte tout cela dans Animal, à travers le regard de deux ados, aborde notamment la question des déplacements : « À un moment, je les emmène dans ce voyage et on prend l’avion, et c’est compliqué pour eux parce que prendre l’avion pour des militants climat c’est interdit ! »
Une conscience écologique que Cyril Dion nous confie d’ailleurs tenter appliquer lui-même au maximum pour ses déplacements du quotidien : « J’ai une voiture électrique […] c’est 70 à 80% d’émission de CO2 en moins sur l’ensemble du cycle de vie. En gros, on met 16 000 km à amortir la dépense énergétique pour la fabrication de la voiture et particulièrement de la batterie, donc c’est quand même une vraie amélioration. »
« En réalité, si on peut respirer, manger, boire, c’est parce que le monde vivant existe […] donc si on ne se préoccupe pas du monde vivant, il va se préoccuper de nous et ça risque de mal finir », explique Cyril Dion. L’écrivain, poète et réalisateur qui raconte tout cela dans Animal, à travers le regard de deux ados, aborde notamment la question des déplacements : « À un moment, je les emmène dans ce voyage et on prend l’avion, et c’est compliqué pour eux parce que prendre l’avion pour des militants climat c’est interdit ! »
Une conscience écologique que Cyril Dion nous confie d’ailleurs tenter appliquer lui-même au maximum pour ses déplacements du quotidien : « J’ai une voiture électrique […] c’est 70 à 80% d’émission de CO2 en moins sur l’ensemble du cycle de vie. En gros, on met 16 000 km à amortir la dépense énergétique pour la fabrication de la voiture et particulièrement de la batterie, donc c’est quand même une vraie amélioration. »
A voir aussi