Léa Drucker, pas si sage
date 15/08/2019 - 02:25 | micro_reportage Francine Thomas
L’actrice, récemment césarisée, donne la réplique à Pio Marmaï dans « Je Promets d’Être Sage », une comédie étonnante.

Léa Drucker, pas si sage
Léa Drucker, pas si sage
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On se souvient d’elle émue aux larmes, en février dernier, recevant son César de meilleure comédienne, et prononçant un magnifique discours militant, sublime dans sa robe noire. On la retrouve cette semaine à l’écran, le visage fermé, campant une gardienne de musée à qui l’on n’a pas envie de se frotter.
Léa Drucker nous ferait presque un peu peur dans « Je Promets d’Être Sage », de Ronan Le Page : « Mais c’est voulu ! s’amuse-t-elle. C’est une femme qui a trouvé ce masque-là pour se protéger, qui sème le trouble dans ce musée parce qu’elle crée des conflits pour masquer sa solitude et sa fragilité. »
Arrive alors Pio Marmaï, et tous deux se lancent dans un trafic d’œuvres d’art et d’objets anciens. C’est l’occasion d’un joli duo qui fonctionne parfaitement à l’écran.
Après avoir excellé dans « Jusqu’à la Garde » de Xavier Legrand, qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, Léa Drucker fait de nouveau des étincelles dans ce rôle pourtant très différent. Elle semble finalement n’avoir peur d’aucun défi, sur scène ou à l’écran : « Je n’ai pas plus peur de la comédie que du drame, parce qu’au théâtre, j’ai eu l’habitude de voyager dans tout cela. J’ai fait des choses très différentes sur scène, ça fait partie de mon ADN (…) et c’est mon moteur. »
C’est sans doute la preuve d’une grande liberté de jeu !
D’ailleurs, puisqu’il est question de liberté, c’est un mot que Léa Drucker associe à la route : « Je me souviens très bien de la première fois où j’ai conduit seule, lors d’un long trajet, avec la musique , c’était la grande aventure et la grande liberté ! »
Ce sentiment de plénitude demeure dès qu’elle conduit.
« Je Promets d’Être Sage » de Ronan Le Page avec Léa Drucker et Pio Marmaï sort en salles mercredi 14 août.
Léa Drucker nous ferait presque un peu peur dans « Je Promets d’Être Sage », de Ronan Le Page : « Mais c’est voulu ! s’amuse-t-elle. C’est une femme qui a trouvé ce masque-là pour se protéger, qui sème le trouble dans ce musée parce qu’elle crée des conflits pour masquer sa solitude et sa fragilité. »
Arrive alors Pio Marmaï, et tous deux se lancent dans un trafic d’œuvres d’art et d’objets anciens. C’est l’occasion d’un joli duo qui fonctionne parfaitement à l’écran.
Après avoir excellé dans « Jusqu’à la Garde » de Xavier Legrand, qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, Léa Drucker fait de nouveau des étincelles dans ce rôle pourtant très différent. Elle semble finalement n’avoir peur d’aucun défi, sur scène ou à l’écran : « Je n’ai pas plus peur de la comédie que du drame, parce qu’au théâtre, j’ai eu l’habitude de voyager dans tout cela. J’ai fait des choses très différentes sur scène, ça fait partie de mon ADN (…) et c’est mon moteur. »
C’est sans doute la preuve d’une grande liberté de jeu !
D’ailleurs, puisqu’il est question de liberté, c’est un mot que Léa Drucker associe à la route : « Je me souviens très bien de la première fois où j’ai conduit seule, lors d’un long trajet, avec la musique , c’était la grande aventure et la grande liberté ! »
Ce sentiment de plénitude demeure dès qu’elle conduit.
« Je Promets d’Être Sage » de Ronan Le Page avec Léa Drucker et Pio Marmaï sort en salles mercredi 14 août.
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