Les Gorges du Verdon
date 25/10/2021 - 11:37 | micro_reportage Nadine Mistre
Notre plus beau paysage cette semaine est une découverte du Verdon qui offre des paysages à couper le souffle ! C'est un lieu incontournable à visiter et à protéger.

Les Gorges du Verdon
Les Gorges du Verdon
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Notre journaliste Nadine Mistre est accompagnée du guide Geneviève Vallard de Boisgelin pour une balade découverte dans les Gorges du Verdon.
« Ça fait 30 ans que je suis ici, dit-elle, et je ne peux pas dire que je connais le Verdon. C'est une approche lente, mais n'oublions pas de monter en hauteur, entre 250 et 300 mètres, mais c'est pas fini, on va monter encore ! »
On a l'habitude de faire les Gorges du Verdon avec une vue d'en bas, mais la vue d'en haut est spectaculaire. Le départ se fait du petit village de La Palud-sur-Verdon, pour admirer une trentaine de belvédères.
« En randonnée, il y a quelques sentiers sur le Montdenier, ou tout à fait de l'autre côté des gorges, celui qui mène au belvédère de Rancoumas. On n'est pas le long des gorges tout le temps, on est dans les bois, et tout à coup on arrive sur un site magique, c'est absolument fantastique, y a personne ».
La balade se poursuit et arrive au belvédère de la Carelle où on entend la rivière. « C'est une découverte à tous les instants ».
Geneviève Vallard de Boisgelin explique que « le Verdon qui fait 160 kilomètres, comme la Durance, permet à toutes les villes de basse Provence de boire. Jusque dans les années 60, Toulon ou dans certains quartiers de Marseille, il n'y avait que quelques heures d'eau au robinet par jour au mois d’août. Faut penser que cette denrée est précieuse quand même ».
Les couleurs sont éclatantes, gris, rouge... « Tous les jours on découvre un petit détail que l'on n'avait pas vu avant ».
On découvre la faune locale, comme des vautours qui peuvent faire jusqu'à 2 mètres 80 d'envergure. Mais n'ayez pas peur, « les vautours sont nécrophages, donc, tant qu'on est vivant on ne risque rien ! »
Et selon la guide « on ne fait pas le Verdon, on le découvre ! ». Écoutez le reportage.
« Ça fait 30 ans que je suis ici, dit-elle, et je ne peux pas dire que je connais le Verdon. C'est une approche lente, mais n'oublions pas de monter en hauteur, entre 250 et 300 mètres, mais c'est pas fini, on va monter encore ! »
On a l'habitude de faire les Gorges du Verdon avec une vue d'en bas, mais la vue d'en haut est spectaculaire. Le départ se fait du petit village de La Palud-sur-Verdon, pour admirer une trentaine de belvédères.
« En randonnée, il y a quelques sentiers sur le Montdenier, ou tout à fait de l'autre côté des gorges, celui qui mène au belvédère de Rancoumas. On n'est pas le long des gorges tout le temps, on est dans les bois, et tout à coup on arrive sur un site magique, c'est absolument fantastique, y a personne ».
La balade se poursuit et arrive au belvédère de la Carelle où on entend la rivière. « C'est une découverte à tous les instants ».
Geneviève Vallard de Boisgelin explique que « le Verdon qui fait 160 kilomètres, comme la Durance, permet à toutes les villes de basse Provence de boire. Jusque dans les années 60, Toulon ou dans certains quartiers de Marseille, il n'y avait que quelques heures d'eau au robinet par jour au mois d’août. Faut penser que cette denrée est précieuse quand même ».
Les couleurs sont éclatantes, gris, rouge... « Tous les jours on découvre un petit détail que l'on n'avait pas vu avant ».
On découvre la faune locale, comme des vautours qui peuvent faire jusqu'à 2 mètres 80 d'envergure. Mais n'ayez pas peur, « les vautours sont nécrophages, donc, tant qu'on est vivant on ne risque rien ! »
Et selon la guide « on ne fait pas le Verdon, on le découvre ! ». Écoutez le reportage.
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