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"je vis à 200%" : Jean-luc Reichmann entre passion et prévention

Jean-Luc Reichmann est au centre de l’intrigue estivale de "Demain nous appartient" sur TF1, on le retrouve également pour des primes-times dans "Les 12 coups de midi"… Et quand il ne travaille pas, il prend souvent la route, c'est quelque chose qu'il adore, seul ou avec sa famille nombreuse. Vous l’avez compris, il est partout cet été, y compris sur le 107.7.

Dernière modification : 18/07/2025 10:37

"je vis à 200%" : Jean-luc Reichmann entre passion et prévention
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NICOLAS LEFEBVRE / CAPA PICTURES / TELSETE / TF1
Première actualité pour Jean-Luc Reichmann : il rejoint la série Demain nous appartient cet été pour un rôle inédit, le temps d’une arche estivale. Il y interprète un restaurateur veuf dont le fils, disparu depuis trois ans, a sombré dans le trafic de drogue. Ce rôle lui tient particulièrement à cœur : « Je ne me suis jamais montré comme ça, avec cette hypersensibilité d’un père complètement paumé face à ce fléau qu’est la drogue. C’était un nouveau défi et je dois vous avouer que je me suis régalé. » Il évoque aussi avec chaleur ses retrouvailles avec Ingrid Chauvin et l’ambiance de tournage : « Je suis resté trois semaines en immersion à Sète avec des gens que j’aime. »

Autre casquette bien connue : celle d’animateur. Depuis 2010, Jean-Luc Reichmann présente quotidiennement Les 12 coups de midi sur TF1. Des primes sont prévus durant l’été : « Après celui du 12 juillet, il y en aura un autre avant la rentrée pour fêter nos quinze ans. Il va y avoir une battle de dingue », s’amuse-t-il. Une manière aussi de rassembler les grands maîtres du jeu et marquer cet anniversaire.

Mais au-delà des plateaux de tournage, Jean-Luc Reichmann aime la route. Il se dit passionné de deux-roues : « Je suis plus deux roues que quatre roues, mais c’est un bonheur de vous suivre de toute manière parce qu’à chaque fois que je prends l’autoroute, je suis avec vous, sachez-le. » Marqué par un accident de moto à l’âge de 25 ans, il revient avec sincérité sur cet épisode : « J’ai entendu le gendarme dire 'il est mort'... il parlait de moi. » Plongé dans le coma, hospitalisé un an, il en garde une vision très lucide de la vie : « Je vis à 200% et je prends toutes les belles petites occasions de la vie. J’ai la conscience de l’éphémère. »

Côté famille, l’animateur raconte avec humour son quotidien de père de six enfants : « C’est même pas une voiture, c’est un minibus… Et puis les enfants ont des petits amis, alors évidemment, le week-end, on me dit : papa, je viens avec trois potes. » Une organisation qui influence même le choix de sa voiture.

Attaché à ses racines, il parle aussi des trajets familiers qui rythment son année : « J’ai pris beaucoup l’autoroute sur Toulouse, je suis Toulousain pur souche. La Bourgogne aussi, mon grand-père maternel est né dans une ferme que j’ai gardée. » Il avoue fuir Paris dès qu’il le peut : « Je me sens mais provincial à 200%. J’ai besoin d’oxygène. »

Enfin, il adresse un message clair aux conducteurs en cette période estivale : « Les facteurs de fatigue, ils ne trompent pas. Quand il y a marqué toutes les deux heures, la pause s’impose, ce n’est pas juste un slogan. » Et sur l’usage du téléphone au volant, il alerte sans détour : « On est tous sur nos portables… Évidemment qu’on va aller regarder. » Pour lui, l’essentiel reste ce qui attend à l’arrivée : « C’est ça, et essayons de respirer en écoutant 107.7. » Il souligne aussi l’intérêt des messages d’humour sur les panneaux autoroutiers : « Dès qu’il y a une petite connotation humour, ça nous dit : ah c’est sympa, j’y avais pas pensé. »
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