Alizé Cornet, de la raquette à la plume
date 12/08/2023 - 15:29 | micro_reportage Virginie Decorte
La joueuse de tennis, qui disputera l’US Open à la fin du mois, puis défendra les couleurs de la France en FED Cup, a sorti il y a quelques mois son tout premier roman.
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Alizé Cornet, de la raquette à la plume
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La Française qui a déjà participé à 66 tournois du Grand-Chelem consécutifs, tout au long de ses 17 ans de carrière, a trouvé le temps d’écrire un livre. Alizé Cornet qui s’était racontée au travers d’une autobiographie intitulée ‘‘Sans compromis’’ il y a quelques années, vient cette fois de sortir un roman. ‘‘La Valse des jours’’, c’est son titre, est un vrai rêve d’enfant confie la joueuse de tennis. Cette dernière se dit très fière d’être parvenue à l’écrire en pleine carrière, entre deux avions, deux pays, deux hôtels.
Bien accueilli par la critique, ce premier roman est, précise-t-elle, inspiré de faits réels, en l’occurrence de l’enfance de sa mère et se déroule à Nice, dans sa ville de cœur, où elle est née. La morale de ce livre, explique Alizé Cornet, c’est de « ne jamais se laisser abattre, y croire jusqu’au bout, ne jamais baisser les bras ». Une philosophie qu’elle suit aussi bien sur les courts qu’en dehors.
En dehors des cours de tennis, l’autrice qui a eu son permis de conduire dès ses 18 ans, raconte qu’elle adore prendre le volant et n’aime pas rouler lentement. La trentenaire, qui apprécie les trajets en famille à l’écoute du 107.7, affirme adopter une conduite « réactive », elle qui a parcouru les quatre coins de la France avec sa mère pour aller disputer des tournois quand elle était plus jeune. Pour sa passion et sa future carrière, Alizé Cornet se souvient même d’avoir conduit à travers l’Europe pour jouer en Pologne.
Bien accueilli par la critique, ce premier roman est, précise-t-elle, inspiré de faits réels, en l’occurrence de l’enfance de sa mère et se déroule à Nice, dans sa ville de cœur, où elle est née. La morale de ce livre, explique Alizé Cornet, c’est de « ne jamais se laisser abattre, y croire jusqu’au bout, ne jamais baisser les bras ». Une philosophie qu’elle suit aussi bien sur les courts qu’en dehors.
En dehors des cours de tennis, l’autrice qui a eu son permis de conduire dès ses 18 ans, raconte qu’elle adore prendre le volant et n’aime pas rouler lentement. La trentenaire, qui apprécie les trajets en famille à l’écoute du 107.7, affirme adopter une conduite « réactive », elle qui a parcouru les quatre coins de la France avec sa mère pour aller disputer des tournois quand elle était plus jeune. Pour sa passion et sa future carrière, Alizé Cornet se souvient même d’avoir conduit à travers l’Europe pour jouer en Pologne.
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