Aurélie Valognes, serial writer
date 11/04/2021 - 02:28 | micro_reportage Francine Thomas
La romancière, qui depuis quatre ans caracole dans le top 10 des meilleures ventes de livres en France, publie Le Tourbillon de la Vie.
© Thomas Laisné
Aurélie Valognes, serial writer
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Sept ans après son tout premier roman auto-publié (Mémé dans les Orties) et un an tout juste après son dernier livre (Né Sous une Bonne Étoile), Aurélie Valognes est déjà de retour en librairies. Pourtant Le Tourbillon de la Vie n’a pas été simple à écrire. Il faut dire qu’une crise sanitaire mondiale est passée par là. « Il fallait trouver l’idée assez forte qui puisse justifier qu’on en parle », nous a-t-elle expliqué.
Et accessoirement, il a fallu s’occuper de deux enfants sans école !
Finalement c’est un livre plein de tendresse que nous livre la romancière. L’histoire d’un grand père, ancien comédien atteint d’Alzheimer, qui passe un dernier été avec son petit-fils : « C’est un roman sur la transmission, sur ce que l’on laisse derrière soi et sur ce que l’on a envie de céder comme valeurs à nos proches. »
C’est aussi un roman sur le théâtre et sur la puissance des beaux textes qui peuvent changer une vie ou s’avérer essentiels. D’ailleurs les ventes de livre n'ont-elles pas été extraordinairement bonnes depuis quelques mois ?
Aurélie Valognes s’en réjouit : « J’avais été choquée qu’on puisse nous interdire les livres en nous disant que ce n’était pas des biens essentiels alors que le livre a été ma bouée de sauvetage pour m’évader et vivre d’autres vies que la mienne. Et j’ai trouvé que les Français étaient comme souvent des résistants (…) C'est cet engouement qui m’a fait beaucoup de bien. »
À la dernière page du Tourbillon de la Vie, les lecteurs trouveront, comme à la fin de chacun de ses romans, l’adresse mail d’Aurélie Valognes. Elle cultive ainsi son lien avec ses lecteurs : « J’ai toujours un doute quand j’écris (…) et je suis en demande de validation ou d’amour des lecteurs. »
Lecteurs toujours plus nombreux puisque depuis quatre ans, elle est la seule autrice à voir ses livres solidement installés dans le Top 10 des meilleurs ventes en France.
Le Tourbillon de la Vie paru chez Fayard ne devrait pas échapper à la règle. Cette histoire de deux personnages qui vont apprendre à s’amuser, à échanger, s’aimer et à se dire adieu le temps d’un été devrait toucher, comme les autres, plusieurs générations de lecteurs.
Et accessoirement, il a fallu s’occuper de deux enfants sans école !
Finalement c’est un livre plein de tendresse que nous livre la romancière. L’histoire d’un grand père, ancien comédien atteint d’Alzheimer, qui passe un dernier été avec son petit-fils : « C’est un roman sur la transmission, sur ce que l’on laisse derrière soi et sur ce que l’on a envie de céder comme valeurs à nos proches. »
C’est aussi un roman sur le théâtre et sur la puissance des beaux textes qui peuvent changer une vie ou s’avérer essentiels. D’ailleurs les ventes de livre n'ont-elles pas été extraordinairement bonnes depuis quelques mois ?
Aurélie Valognes s’en réjouit : « J’avais été choquée qu’on puisse nous interdire les livres en nous disant que ce n’était pas des biens essentiels alors que le livre a été ma bouée de sauvetage pour m’évader et vivre d’autres vies que la mienne. Et j’ai trouvé que les Français étaient comme souvent des résistants (…) C'est cet engouement qui m’a fait beaucoup de bien. »
À la dernière page du Tourbillon de la Vie, les lecteurs trouveront, comme à la fin de chacun de ses romans, l’adresse mail d’Aurélie Valognes. Elle cultive ainsi son lien avec ses lecteurs : « J’ai toujours un doute quand j’écris (…) et je suis en demande de validation ou d’amour des lecteurs. »
Lecteurs toujours plus nombreux puisque depuis quatre ans, elle est la seule autrice à voir ses livres solidement installés dans le Top 10 des meilleurs ventes en France.
Le Tourbillon de la Vie paru chez Fayard ne devrait pas échapper à la règle. Cette histoire de deux personnages qui vont apprendre à s’amuser, à échanger, s’aimer et à se dire adieu le temps d’un été devrait toucher, comme les autres, plusieurs générations de lecteurs.
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