« La princesse qui rêvait d’être une petite fille », un conte musical pop !
date 18/12/2018 - 09:33 | micro_reportage Francine Thomas
Un roman jeunesse illustré et enrichi de onze chansons, c’est l’originalité de « La princesse qui rêvait d’être une petite fille »
"La princesse qui rêvait d’être un…
"La princesse qui rêvait d’être une petite fille", un conte musical pop !
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Quatre artistes se cachent derrière ce beau projet. Jérôme Attal, romancier et parolier pour Johnny Hallyday, Jenifer ou encore Vanessa Paradis, a écrit l’histoire et les textes des chansons. Elise Reslinger, alias Likesberry en a composé les musiques, Sylvain Louveau a assuré la réalisation de l’album et enfin Fred Bernard a illustré le livre.
A différents moments de cette jolie histoire pleine d’humour , le lecteur est invité à faire une pause musicale et à découvrir l’un des titres. « Jérôme m’a vraiment demandé de composer des singles, des tubes, je lui ai dit aucun problème ! », s’amuse Elise Reslinger qui s’essaye pour la première fois à un projet pour la jeunesse. « On a voulu faire un disque pour les enfants et leurs parents », explique Simon Louveau.
Ce conte poétique pétillant séduira les lecteurs de tous âges grâce à ses différents niveaux de lecture. « C’est l’histoire d’une petite fille qui se met très en colère contre la princesse qu’elle est ou l’égoïsme qu’elle peut avoir au fond d’elle », explique Jérôme Attal.
A différents moments de cette jolie histoire pleine d’humour , le lecteur est invité à faire une pause musicale et à découvrir l’un des titres. « Jérôme m’a vraiment demandé de composer des singles, des tubes, je lui ai dit aucun problème ! », s’amuse Elise Reslinger qui s’essaye pour la première fois à un projet pour la jeunesse. « On a voulu faire un disque pour les enfants et leurs parents », explique Simon Louveau.
Ce conte poétique pétillant séduira les lecteurs de tous âges grâce à ses différents niveaux de lecture. « C’est l’histoire d’une petite fille qui se met très en colère contre la princesse qu’elle est ou l’égoïsme qu’elle peut avoir au fond d’elle », explique Jérôme Attal.
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