Le radar de covoiturage
date 09/04/2021 - 11:57 | micro_reportage Virginie Decorte
Pour mieux partager la route, désengorger les axes principaux et faire baisser l'impact carbone du transport, un nouveau radar voit le jour pour inciter au covoiturage. L'outil compte le nombre d'occupants dans les véhicules.
© Pryntec
Le radar de covoiturage
Le radar de covoiturage
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Compter le nombre d'occupants dans les véhicules et donc contrôler les voies réservées au covoiturage... C'est la mission d'un nouvel outil que nous présente Anne Pirio de la société Pryntec qui a mis en place en place ce dispositif à Lyon et à Grenoble : « C'est un produit qui vise à développer la mobilité intelligente et plus verte [...] Notre dispositif fonctionne de 0 à 130 km/h, par tous les temps, qu'il pleuve, qu'il neige, de jour comme de nuit et sur tous types de véhicules. »
L'idée, c'est d'emprunter les voies de covoiturage : « On n'augmente pas le nombre de voitures sur un même axe, mais le nombre de personnes transportées » précise Pascal Glasson du Cerema, le Centre d'Études et d'Expertise sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement. Il ajoute qu'il y a « un différentiel de vitesse de l'ordre de 10 km/h, cela veut dire qu'on avance plus vite sur la voie de covoiturage que sur les autres voies donc ça donne un meilleur temps de parcours aux usagers qui covoiturent. Il est important d'avoir une phase pédagogique en démarrant ce type de voies réservées. Il faut bien expliquer quels sont les types de véhicules qui sont autorisés, et dans quel cas on peut emprunter cette voie [...] C'est une voie réservée à occupation multiple, c'est à dire que dès qu'on est deux occupants ou plus dans la voiture, on peut l'utiliser. . »
Plus d'infos ici...
En France d’autres voies de covoiturage sont à l’étude, à Paris, mais aussi dans les régions de Bordeaux Marseille ou à Nice !
L'idée, c'est d'emprunter les voies de covoiturage : « On n'augmente pas le nombre de voitures sur un même axe, mais le nombre de personnes transportées » précise Pascal Glasson du Cerema, le Centre d'Études et d'Expertise sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement. Il ajoute qu'il y a « un différentiel de vitesse de l'ordre de 10 km/h, cela veut dire qu'on avance plus vite sur la voie de covoiturage que sur les autres voies donc ça donne un meilleur temps de parcours aux usagers qui covoiturent. Il est important d'avoir une phase pédagogique en démarrant ce type de voies réservées. Il faut bien expliquer quels sont les types de véhicules qui sont autorisés, et dans quel cas on peut emprunter cette voie [...] C'est une voie réservée à occupation multiple, c'est à dire que dès qu'on est deux occupants ou plus dans la voiture, on peut l'utiliser. . »
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