Les mémoires de Philippe Risoli
date 18/09/2023 - 15:55 | micro_reportage Sébastien Dath
L’animateur star des années 80 et 90 revient sur sa vie, son histoire et son parcours dans un livre intitulé ‘‘Dites bien à mon fils que je l’aime’’.
© l'Archipel
Les mémoires de Philippe Risoli
Les mémoires de Philippe Risoli
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Incontournable à la télévision il y a une trentaine d’années, Philippe Risoli et son inimitable voix ont bercé et animé les après-midi et soirées de bons nombres de Français. L’animateur, qui a commencé à la radio, a présenté de nombreux jeux télévisés. Des jeux, raconte-t-il, « devenus un peu mythiques », parmi lesquels « Starquizz qui a obtenu un 7 d’or », Jeopardy, le Millionnaire ou encore le Juste Prix, mais aussi Intervilles et Capitale d’un soir en prime time.
Aujourd’hui éloigné du monde de la télé, Philippe Risoli vient d’écrire ‘‘Dites bien à mon fils que je l’aime’’ en hommage à ses parents et à son père qui a prononcé ces mots à son infirmière juste avant de mourir. Une phrase magnifique qui a « ému aux larmes » l’animateur et qui lui a donné envie de retranscrire l’histoire de sa famille, de son père immigré italien et de sa mère venue à Paris depuis sa Bretagne natale.
À travers les mémoires du clan Risoli, Philippe, fils unique, revient sur son enfance entre les portes de Clignancourt et de Saint-Ouen à Paris, sur son rêve de faire de la radio et de la télévision, ainsi que sur ses débuts dans l’univers des médias. Parmi les nombreuses histoires et anecdotes contées par l’animateur, ce dernier évoque à plusieurs reprises la route.
La route qui le menait petit, en Bretagne, une fois par an, à bord de la Dauphine familiale chargée à ras bord. La route qui l’a mené à l’autre bout de l’Europe avec ses potes lorsqu’il était jeune. La route du Trophée Andros qu’il a eu la chance d’emprunter, grâce à son bon coup de volant. Mais également la route qu’il emprunte aujourd’hui entre la région parisienne et Toulon à l’écoute du 107.7. Une radio qu’il apprécie pour son « confort d’écoute », ainsi que pour les infos et astuces qui lui permettent de choisir un chemin annexe pour éviter des bouchons dus à des accidents. D’ailleurs Philippe Risoli tient à saluer les « gars qui travaillent sur l'autoroute ». Des patrouilleurs qui, dit-il, sont courageux et qui « prennent des risques » pour la sécurité de tous et pour venir en aide aux automobilistes en détresse.
Aujourd’hui éloigné du monde de la télé, Philippe Risoli vient d’écrire ‘‘Dites bien à mon fils que je l’aime’’ en hommage à ses parents et à son père qui a prononcé ces mots à son infirmière juste avant de mourir. Une phrase magnifique qui a « ému aux larmes » l’animateur et qui lui a donné envie de retranscrire l’histoire de sa famille, de son père immigré italien et de sa mère venue à Paris depuis sa Bretagne natale.
À travers les mémoires du clan Risoli, Philippe, fils unique, revient sur son enfance entre les portes de Clignancourt et de Saint-Ouen à Paris, sur son rêve de faire de la radio et de la télévision, ainsi que sur ses débuts dans l’univers des médias. Parmi les nombreuses histoires et anecdotes contées par l’animateur, ce dernier évoque à plusieurs reprises la route.
La route qui le menait petit, en Bretagne, une fois par an, à bord de la Dauphine familiale chargée à ras bord. La route qui l’a mené à l’autre bout de l’Europe avec ses potes lorsqu’il était jeune. La route du Trophée Andros qu’il a eu la chance d’emprunter, grâce à son bon coup de volant. Mais également la route qu’il emprunte aujourd’hui entre la région parisienne et Toulon à l’écoute du 107.7. Une radio qu’il apprécie pour son « confort d’écoute », ainsi que pour les infos et astuces qui lui permettent de choisir un chemin annexe pour éviter des bouchons dus à des accidents. D’ailleurs Philippe Risoli tient à saluer les « gars qui travaillent sur l'autoroute ». Des patrouilleurs qui, dit-il, sont courageux et qui « prennent des risques » pour la sécurité de tous et pour venir en aide aux automobilistes en détresse.
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