Lubiana, la bien-aimée
date 17/10/2021 - 10:54 | micro_reportage Chrystèle Mollon
« Beloved », le premier album de la chanteuse âgée de 27 ans, s’inspire de ses origines belgo-camerounaises.
© Nicolas Wagner
Lubiana, la bien-aimée
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Un peu plus d’un an après la sortie de son EP, éponyme, qui comprenait 5 morceaux, Lubiana vient de sortir son tout premier album. Ce dernier, intitulé « Beloved », puise ses origines dans la double culture dans laquelle elle a grandi. Née d’une mère belge et d’un père camerounais, Lubiana vient de publier 13 nouvelles chansons et autant d’invitations à l’évasion. Le métissage musical que propose la chanteuse sur son nouveau disque s’illustre notamment sur le titre Mamy Nianga. « C’est une expression camerounaise […] c’est un peu la signification du Sapé Comme Jamais de Gims », raconte-t-elle.
Cette facette africaine de sa culture, Lubiana explique l’avoir découverte assez récemment : « J’ai entamé une quête de soi et je me suis rendu compte que pour apprendre à m’aimer pleinement il fallait aussi que je retourne sur la terre de mes ancêtres au Cameroun […] et ça a été un voyage merveilleux. »
Parmi les souvenirs que la jeune artiste a ramené dans ses bagages à son retour en Belgique figurait un instrument de musique, quasi mystique, que l’on retrouve tout au long de l’album : « Je joue de la kora, une harpe traditionnellement réservée aux hommes […] c’est un instrument assez magique […] et j’ai eu la chance d’être choisie par cet instrument parce qu’elle m’est apparue en rêve, je n’avais jamais vu de kora avant ! »
Pour résumer « Beloved », Lubiana raconte qu’à « la fois il y a ce côté rythmique qui est très présent en Afrique et à la fois il y a cette importance des mélodies qui est très présent en Europe, mais tous les titres de l’album sont venus du cœur ».
Cette facette africaine de sa culture, Lubiana explique l’avoir découverte assez récemment : « J’ai entamé une quête de soi et je me suis rendu compte que pour apprendre à m’aimer pleinement il fallait aussi que je retourne sur la terre de mes ancêtres au Cameroun […] et ça a été un voyage merveilleux. »
Parmi les souvenirs que la jeune artiste a ramené dans ses bagages à son retour en Belgique figurait un instrument de musique, quasi mystique, que l’on retrouve tout au long de l’album : « Je joue de la kora, une harpe traditionnellement réservée aux hommes […] c’est un instrument assez magique […] et j’ai eu la chance d’être choisie par cet instrument parce qu’elle m’est apparue en rêve, je n’avais jamais vu de kora avant ! »
Pour résumer « Beloved », Lubiana raconte qu’à « la fois il y a ce côté rythmique qui est très présent en Afrique et à la fois il y a cette importance des mélodies qui est très présent en Europe, mais tous les titres de l’album sont venus du cœur ».
Le clip de Lubiana - Mamy Nianga
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