Nouvelle Renault 4 : un SUV nostalgique et 100% électrique
date 13/06/2025 - 13:07 | micro_reportage Sébastien Dath
La marque au losange réinvente sa mythique 4L dans une version électrique, abordable et au style rétro. Le nouveau modèle, plus spacieux et transformé en SUV compact, vise à séduire les nostalgiques comme les jeunes familles.
© Renault
Nouvelle Renault 4 : un SUV nostal…
Nouvelle Renault 4 : un SUV nostalgique et 100% électrique
play
0:00
0:00
volume-high
C’est une transformation symbolique autant que stratégique. Renault ressuscite sa 4L, modèle emblématique des années 60 à 90, dans une version 100 % électrique, mais surtout avec une silhouette de SUV. Baptisée sobrement Renault 4, cette ‘‘version 3.0’’ combine nostalgie, design moderne et attentes actuelles du marché.
Christophe Congrega, qui l’a testée pour L’Automobile Magazine, observe immédiatement les clins d’œil au modèle d’origine : phares ronds, bandeau noir à l’avant, petites vitres triangulaires. « C’est une voiture qui suscite les souvenirs », souligne-t-il. Mais cette fois, la ligne générale tranche avec la silhouette d’utilitaire léger de la 4L d’époque. « Si on regarde bien, la ‘‘quatrelle’’ originale avait déjà un petit côté baroudeur », estime le journaliste. Renault a simplement poussé cette logique plus loin.
Longue de 4,14 mètres, la nouvelle R4 se positionne désormais comme un SUV compact, au même niveau qu’un Peugeot E-2008, mais avec une approche plus familiale. Elle propose une habitabilité accrue par rapport à la R5 électrique, avec un coffre plus spacieux (près de 100 litres supplémentaires) et une modularité bien pensée, comme le dossier passager rabattable.
Reposant sur la même plateforme que la R5, elle propose deux motorisations (120 et 150 chevaux) et deux tailles de batterie (50 et 60 kW). L’autonomie maximale annoncée est de 409 kilomètres, mais « pour les longs trajets, il faudra s’arrêter environ tous les 200 kilomètres », précise le journaliste. Elle ne rivalise donc pas encore avec la polyvalence de son ancêtre thermique.
Côté prix, le ticket d’entrée de la Renault 4 E-Tech est fixé à 29 990 euros avant bonus écologique, et peut grimper à 37 490 pour la version haut de gamme. Une somme, certes, mais « moins chère que plusieurs concurrents directs », note Christophe Congrega. Renault capitalise ici sur deux tendances : la montée en puissance des SUV et le succès des modèles rétro-électriques. Un pari mesuré, mais qui pourrait bien séduire à la fois les nostalgiques et les jeunes familles urbaines.
Christophe Congrega, qui l’a testée pour L’Automobile Magazine, observe immédiatement les clins d’œil au modèle d’origine : phares ronds, bandeau noir à l’avant, petites vitres triangulaires. « C’est une voiture qui suscite les souvenirs », souligne-t-il. Mais cette fois, la ligne générale tranche avec la silhouette d’utilitaire léger de la 4L d’époque. « Si on regarde bien, la ‘‘quatrelle’’ originale avait déjà un petit côté baroudeur », estime le journaliste. Renault a simplement poussé cette logique plus loin.
Longue de 4,14 mètres, la nouvelle R4 se positionne désormais comme un SUV compact, au même niveau qu’un Peugeot E-2008, mais avec une approche plus familiale. Elle propose une habitabilité accrue par rapport à la R5 électrique, avec un coffre plus spacieux (près de 100 litres supplémentaires) et une modularité bien pensée, comme le dossier passager rabattable.
Reposant sur la même plateforme que la R5, elle propose deux motorisations (120 et 150 chevaux) et deux tailles de batterie (50 et 60 kW). L’autonomie maximale annoncée est de 409 kilomètres, mais « pour les longs trajets, il faudra s’arrêter environ tous les 200 kilomètres », précise le journaliste. Elle ne rivalise donc pas encore avec la polyvalence de son ancêtre thermique.
Côté prix, le ticket d’entrée de la Renault 4 E-Tech est fixé à 29 990 euros avant bonus écologique, et peut grimper à 37 490 pour la version haut de gamme. Une somme, certes, mais « moins chère que plusieurs concurrents directs », note Christophe Congrega. Renault capitalise ici sur deux tendances : la montée en puissance des SUV et le succès des modèles rétro-électriques. Un pari mesuré, mais qui pourrait bien séduire à la fois les nostalgiques et les jeunes familles urbaines.
A voir aussi