La forêt des Landes
date 25/08/2020 - 09:35 | micro_reportage Christophe Buquet
Nous vous emmenons dans un site naturel à voir et à préserver. Voici une balade sur les sentiers de randonnées ou à vélo sur les pistes cyclables... Direction la Forêt des Landes de Gascogne, le royaume du pin maritime, avec Christophe Buquet et son invité.

La forêt des Landes
La forêt des Landes
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Nous partons en plein cœur des Landes, et en arrivant dans la forêt, ce sont des centaines de pins maritimes de plus de 30 mètres de haut, tous bien alignés, qui se dressent devant nous.
Sylvain Bazas, est conseiller forestier au Centre Régional de la Propriété Forestière : « à l'intérieur du massif, on considère qu'il y a entre 20 000 et 30 000 kilomètres de pistes. C'est la plus grande forêt cultivée d'Europe. On considère qu'on a à peu près un million d'hectares cultivés. ce massif est boisé à près de neuf cent mille hectares avec essentiellement du pin maritime. Il est à 90% privé, c'est à dire qu'il appartient à des propriétaires. L'histoire du massif a commencé à la fin du 18e siècle, avec tout d'abord l’obligation de fixer les dunes littorales et de mettre en place un grand réseau d'assainissement. Autrefois, c'était essentiellement des marécages. La première économie qu'il y avait au sein du massif, c'était la récolte de la résine ».
C'est un site remarquable, mais vulnérable qui mérite une protection particulière, le premier risque étant le risque incendie. Les propriétaires privés cotisent une certaine somme pour faciliter la lutte contre l'incendie.
Sylvain Bazas, est conseiller forestier au Centre Régional de la Propriété Forestière : « à l'intérieur du massif, on considère qu'il y a entre 20 000 et 30 000 kilomètres de pistes. C'est la plus grande forêt cultivée d'Europe. On considère qu'on a à peu près un million d'hectares cultivés. ce massif est boisé à près de neuf cent mille hectares avec essentiellement du pin maritime. Il est à 90% privé, c'est à dire qu'il appartient à des propriétaires. L'histoire du massif a commencé à la fin du 18e siècle, avec tout d'abord l’obligation de fixer les dunes littorales et de mettre en place un grand réseau d'assainissement. Autrefois, c'était essentiellement des marécages. La première économie qu'il y avait au sein du massif, c'était la récolte de la résine ».
C'est un site remarquable, mais vulnérable qui mérite une protection particulière, le premier risque étant le risque incendie. Les propriétaires privés cotisent une certaine somme pour faciliter la lutte contre l'incendie.
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