Rouquine, duo radiogénique
date 13/11/2021 - 09:44 | micro_reportage Chrystèle Mollon
Vainqueurs de la première saison de The Artist, le télécrochet de France 2 présenté par Nagui, les deux potes préparent la sortie de leur premier album.

© Thomas Dilis
Rouquine, duo radiogénique
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Autrefois membres du regretté groupe angevin Babel, Sébastien Rousselet et Nino Vella forment désormais le duo Rouquine. Un nouveau groupe qui vient de remporter un nouveau télécrochet, The Artist diffusé sur France 2. Un coup de projecteur qui leur a « permis de rencontrer un public » inespéré, « un accélérateur considérable », racontent-ils.
Les deux compères qui préparent leur premier album ont déjà sorti quelques titres. Parmi eux, Mortel, que vous avez peut-être déjà entendu sur les ondes du 107.7. Une chanson à l’image de Rouquine qui, sur une mélodie joyeuse, traite du dernier jour de vie d’une personne atteinte d’un cancer : « On peut trouver ça horrible, on peut trouver aussi qu’il y a plein de vie là-dedans. C’est la dernière journée de quelqu’un donc il y met tout ce qu’on peut y mettre, avec plein de vitalité, il y a plein d’envie, plein de désirs, donc c’est très vivant ! »
Plus généralement à travers leur musique, Sébastien à l’écriture et Nino à la composition, expliquent vouloir « rigoler de tout et s’entourer de gens qui aiment bien rigoler de tous les sujets possibles ». Une philosophie qui, selon eux, est un peu devenue la marque de fabrique de Rouquine : « Ça amène un angle de vue parfois un peu grinçant, il y a du second degré, de la dérision, même sur des sujets qui peuvent sembler graves. Donc parler de la mort, de la maladie, de la parentalité, du sexe, de façon crue et drôle, ça peut amener un point de vue original, en tout cas que l’on n’entend pas souvent. »
Les deux compères qui préparent leur premier album ont déjà sorti quelques titres. Parmi eux, Mortel, que vous avez peut-être déjà entendu sur les ondes du 107.7. Une chanson à l’image de Rouquine qui, sur une mélodie joyeuse, traite du dernier jour de vie d’une personne atteinte d’un cancer : « On peut trouver ça horrible, on peut trouver aussi qu’il y a plein de vie là-dedans. C’est la dernière journée de quelqu’un donc il y met tout ce qu’on peut y mettre, avec plein de vitalité, il y a plein d’envie, plein de désirs, donc c’est très vivant ! »
Plus généralement à travers leur musique, Sébastien à l’écriture et Nino à la composition, expliquent vouloir « rigoler de tout et s’entourer de gens qui aiment bien rigoler de tous les sujets possibles ». Une philosophie qui, selon eux, est un peu devenue la marque de fabrique de Rouquine : « Ça amène un angle de vue parfois un peu grinçant, il y a du second degré, de la dérision, même sur des sujets qui peuvent sembler graves. Donc parler de la mort, de la maladie, de la parentalité, du sexe, de façon crue et drôle, ça peut amener un point de vue original, en tout cas que l’on n’entend pas souvent. »
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