Sur les traces du ‘‘Garçon’’ avec ses réalisateurs Zabou Breitman et Florent Vassault
date 21/03/2025 - 10:44 | micro_reportage Virginie Decorte
Tout débute avec les photos d’une famille. Une famille inconnue, qu’on a l’impression pourtant de connaître. Au centre : un garçon. Qui est-il ? Quelle est son histoire ? Une enquête familiale vertigineuse, où réalité et fiction se mêlent jusqu’à se confondre parfois.
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Sur les traces du ''Garçon'' avec ses réalisateurs Zabou Breitman et Florent Vassault
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Qui était ce garçon ? Ce petit inconnu que l’on voit grandir au travers de clichés familiaux. C’est toute la question que pose le docu-fiction ‘‘Le Garçon’’, co-réalisé par Zabou Breitman et Florent Vassault. La réalisatrice nous précise : « Ça faisait longtemps que j'avais envie de travailler sur le documentaire et la fiction au cinéma. J'ai déjà fait ça au théâtre plusieurs fois, et ça me titillait. Et puis on se disait avec Florent que n'importe qui dans le monde, n'importe quel inconnu, mérite une histoire, mérite un film. »
Florent Vassault ajoute : « On était sûr qu'on peut raconter quelque chose d'extraordinaire sur la vie de chacun. »
Ce long-métrage retrace l’histoire d’une famille banale entre Normandie, Bourgogne et Paris à travers plus de 200 clichés chinés par le documentariste Florent Vassault lors d’une brocante en 2020. Entre réalité et fiction, le film suit l’enquête autour de ce petit garçon, personnage mystérieux qui apparaît à de nombreuses reprises sur ces photographies d’époque. L’actrice Isabelle Nanty et le comédien François Berléand incarnent les parents hypothétiques de ce garçon, des comédiens sensibles et aventureux selon Zabou Breitman : « Ce sont des gens qui aiment les aventures artistiques. Ils savaient que c'est une aventure artistique et ça ne leur a pas posé de problème de définition ou autres, ils étaient convaincus que ça serait formidable. »
Cet ovni cinématographique touchant nous fait voyager dans le temps et l'espace. L'occasion d'aborder cette thématique avec nos invités. L'un comme l'autre adorent les voyages en voiture, même si Florent Vassault se laisse volontiers conduire, il nous confit en souriant : « Ma compagne conduit souvent, et j'adore ça. Le problème c'est que je m'endors et et que je culpabilise un petit peu à l'arrivée d'avoir rien fait. »
Quant à Zabou, elle se souvient : « Un jour je devais partir pour 700 kilomètres et je me suis dit que ça allait être vraiment dur. Et finalement je suis partie vers 7h, c'était l'été, donc le le jour durait jusqu'à 22h et c'est un sentiment de liberté absolument extraordinaire. J'ai adoré ce moment-là. Je m'en souviens encore. J'ai trouvé un hôtel au bord de la route et je suis reparti le lendemain très tôt, j'ai trouvé ça merveilleux. J'adore ! »
Florent Vassault ajoute : « On était sûr qu'on peut raconter quelque chose d'extraordinaire sur la vie de chacun. »
Ce long-métrage retrace l’histoire d’une famille banale entre Normandie, Bourgogne et Paris à travers plus de 200 clichés chinés par le documentariste Florent Vassault lors d’une brocante en 2020. Entre réalité et fiction, le film suit l’enquête autour de ce petit garçon, personnage mystérieux qui apparaît à de nombreuses reprises sur ces photographies d’époque. L’actrice Isabelle Nanty et le comédien François Berléand incarnent les parents hypothétiques de ce garçon, des comédiens sensibles et aventureux selon Zabou Breitman : « Ce sont des gens qui aiment les aventures artistiques. Ils savaient que c'est une aventure artistique et ça ne leur a pas posé de problème de définition ou autres, ils étaient convaincus que ça serait formidable. »
Cet ovni cinématographique touchant nous fait voyager dans le temps et l'espace. L'occasion d'aborder cette thématique avec nos invités. L'un comme l'autre adorent les voyages en voiture, même si Florent Vassault se laisse volontiers conduire, il nous confit en souriant : « Ma compagne conduit souvent, et j'adore ça. Le problème c'est que je m'endors et et que je culpabilise un petit peu à l'arrivée d'avoir rien fait. »
Quant à Zabou, elle se souvient : « Un jour je devais partir pour 700 kilomètres et je me suis dit que ça allait être vraiment dur. Et finalement je suis partie vers 7h, c'était l'été, donc le le jour durait jusqu'à 22h et c'est un sentiment de liberté absolument extraordinaire. J'ai adoré ce moment-là. Je m'en souviens encore. J'ai trouvé un hôtel au bord de la route et je suis reparti le lendemain très tôt, j'ai trouvé ça merveilleux. J'adore ! »