Synapson, le voyage encore et « toujours » !
date 03/01/2021 - 18:48 | micro_reportage Virginie Decorte
Le groupe électro-pop, formé en 2009 par deux amis d’enfance, vient de sortir un nouvel album.
© Paul Lombard - Synapson 2020
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Synapson, le voyage encore et « toujours » !
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Emmené par les collaborations et les singles « Illuminar » aux côtés de la brésilienne Flavia Coelho, « Bensema » en compagnie de la malienne Oumou Sangaré et plus récemment « Toujours » avec Tim Dup et le chanteur sénégalais Lass, c’est un voyage musical que nous propose le duo Synapson sur son nouvel opus intitulé Global Musique Vol.1.
Paul, le producteur et ingénieur du binôme, raconte à propos des 11 cartes postales qui composent l’album : « On l’a imaginé avant l’ère Covid, avant cette année assez pourrie pour tout le monde. C’était une double volonté. C’était revenir à ce qui nous a fait connaître du grand public […] et on adore collaborer avec des artistes venant du monde entier. »
Le musicien, qui vient de fêter les 10 ans du groupe avec son compère Alex, poursuit en expliquant que l’idée de ce nouveau disque était « d’inviter un maximum de gens, de s’influencer de toutes les cultures, de tous les pays, tout en gardant le fil rouge de la production Synapson ». Paul résume leur intention lorsqu’ils ont imaginé le projet Global Musique Vol.1, qui appellera d’ailleurs probablement d’autres volets dans les années qui viennent : « Proposer un album global qui donne envie de voyager…et c’est bien tombé vu l’année qu’on a passée ! »
À propos de 2020, année si particulière, la moitié de Synapson confie justement à propos de la chanson « Toujours », confectionnée avec Tim Dup et le chanteur sénégalais Lass : « Elle est née du premier confinement en France, on était tous les quatre dans des villes différentes mais on avait tous pris de quoi faire un peu de musique chacun dans nos coins. »
Comme à chacune de leurs nombreuses collaborations, les deux comparses, explique Paul, ont commencé par composer la musique, avant de la proposer aux deux chanteurs qui figuraient d’ailleurs tous les deux sur leur précédent album (Super 8 sorti en 2018). Tim Dup a alors « écrit des couplets » et Lass a ensuite « proposé quelque chose pour les refrains ».
Même s’il se dit lui-même fan du travail en studio, Paul évoque malgré tout sa frustration et surtout celle de son binôme Alex, féru de spectacle vivant, de ne pas encore pouvoir présenter les 11 morceaux de leur nouveau disque sur scène, en raison de la crise sanitaire.
Paul, le producteur et ingénieur du binôme, raconte à propos des 11 cartes postales qui composent l’album : « On l’a imaginé avant l’ère Covid, avant cette année assez pourrie pour tout le monde. C’était une double volonté. C’était revenir à ce qui nous a fait connaître du grand public […] et on adore collaborer avec des artistes venant du monde entier. »
Le musicien, qui vient de fêter les 10 ans du groupe avec son compère Alex, poursuit en expliquant que l’idée de ce nouveau disque était « d’inviter un maximum de gens, de s’influencer de toutes les cultures, de tous les pays, tout en gardant le fil rouge de la production Synapson ». Paul résume leur intention lorsqu’ils ont imaginé le projet Global Musique Vol.1, qui appellera d’ailleurs probablement d’autres volets dans les années qui viennent : « Proposer un album global qui donne envie de voyager…et c’est bien tombé vu l’année qu’on a passée ! »
À propos de 2020, année si particulière, la moitié de Synapson confie justement à propos de la chanson « Toujours », confectionnée avec Tim Dup et le chanteur sénégalais Lass : « Elle est née du premier confinement en France, on était tous les quatre dans des villes différentes mais on avait tous pris de quoi faire un peu de musique chacun dans nos coins. »
Comme à chacune de leurs nombreuses collaborations, les deux comparses, explique Paul, ont commencé par composer la musique, avant de la proposer aux deux chanteurs qui figuraient d’ailleurs tous les deux sur leur précédent album (Super 8 sorti en 2018). Tim Dup a alors « écrit des couplets » et Lass a ensuite « proposé quelque chose pour les refrains ».
Même s’il se dit lui-même fan du travail en studio, Paul évoque malgré tout sa frustration et surtout celle de son binôme Alex, féru de spectacle vivant, de ne pas encore pouvoir présenter les 11 morceaux de leur nouveau disque sur scène, en raison de la crise sanitaire.
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