Visite insolite : la Halle de la Machine à Toulouse
date 09/03/2020 - 18:18 | micro_reportage Maryelle Tillié
La Halle de la Machine a ouvert ses portes au public en novembre 2018 dans le quartier de Montaudran à Toulouse. Espace de création, de vie et de rencontres, la Halle abrite, entre autres merveilles, un Minotaure de 47 tonnes. Visite guidée avec Maryelle Tillié…

© JordiBover
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Visite insolite : la Halle de la Machine à Toulouse
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Il y a un an apparaissait dans les rues de Toulouse un monstre de bois et de métal nommé Astérion. Un minotaure géant imaginé et réalisé par la Compagnie la Machine pour 4 jours de spectacle qui avaient attiré pas moins de 900 000 personnes.
Déjà bien connue à Nantes, la troupe créée par François Delarozière a pris ses quartiers dans la Ville Rose il y a un an, à la Halle de la Machine, où s’est réfugié le fameux Minotaure et d'autres engins spectaculaires, conçues par la Compagnie. Le lieu est désormais ouvert au public et Astérion promène donc les visiteurs, petits et grands, à 14 mètres de haut pour une balade de 45 minutes.
Mais la Halle de la Machine réserve bien d’autres surprises, comme la Symphonie Mécanique, signée également François Delarozière. Une œuvre auditive et visuelle née de l’interaction entre machinistes et musiciens classiques, où se confrontent les sonorités d’instruments tous plus atypiques les uns que les autres : un instrumentarium unique composé de flûtes, cuivres, piano, scies musicales, guitares, bricolés avec ingéniosité et humour.
À découvrir aussi à la Halle, la machinerie poétique de la compagnie catalane Antigua i Barbuda, jusqu’en janvier.
Déjà bien connue à Nantes, la troupe créée par François Delarozière a pris ses quartiers dans la Ville Rose il y a un an, à la Halle de la Machine, où s’est réfugié le fameux Minotaure et d'autres engins spectaculaires, conçues par la Compagnie. Le lieu est désormais ouvert au public et Astérion promène donc les visiteurs, petits et grands, à 14 mètres de haut pour une balade de 45 minutes.
Mais la Halle de la Machine réserve bien d’autres surprises, comme la Symphonie Mécanique, signée également François Delarozière. Une œuvre auditive et visuelle née de l’interaction entre machinistes et musiciens classiques, où se confrontent les sonorités d’instruments tous plus atypiques les uns que les autres : un instrumentarium unique composé de flûtes, cuivres, piano, scies musicales, guitares, bricolés avec ingéniosité et humour.
À découvrir aussi à la Halle, la machinerie poétique de la compagnie catalane Antigua i Barbuda, jusqu’en janvier.
Voir le Minotaure en action !
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