Bataille navale antique au Puy-du-Fou
date 23/09/2022 - 17:29 | micro_reportage Ivan Mouton
Nul besoin d’investir dans une machine à remonter le temps pour se croire au temps des Romains. Le Puy du Fou propose une reconstitution des célèbres jeux de l'Antiquité. Course de chars, combats de gladiateurs et combat naval avec une impressionnante galère en nouveauté.

© Puy du Fou - Arthur Aumond
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Bataille navale antique au Puy-du-Fou
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Les enfants qui sortent du spectacle sont simplement scotchés... C'est une des dernières nouveautés au parc du Puy du Fou, en Vendée. Au cœur du staduim gallo-romain, le spectacle Le signe du triomphe, fait vivre, aux spectateurs en tribune, une plongée dans les jeux de l'Antiquité. Course de chars, combats de gladiateurs et ambiance survoltée.
Et le final ne peut pas laisser indifférent : au centre de l'arène, la spina se transforme et apparaît alors une incroyable galère romaine. « La spina se déploie, on a une quarantaine de rames qui s'ouvrent, qui sortent pour laisser apparaître un grand mât. L’éperon de la galère sort devant. Et ensuite, elle se met à pivoter sur elle-même et s'embrase ! » décrit Sébastien Monnereau, le directeur du spectacle.
« C'est comme un transformer ! » s’enthousiasme un jeune spectateur. Le nouveau décor est tellement imposant que les cascadeurs, dans les rôles des gladiateurs, sont eux-mêmes impressionnés : « On a tous les regards sur nous. Les gens sont impressionnés de voir des gladiateurs. Et on a un spectacle plus technique avec une machinerie qui est énorme. Forcément, pour nous, c'est une adaptation. » témoigne Baptiste Henneau, gladiateur dans le spectacle.
Le grand classique, la course de chars, fait toujours son effet : « Nous avons 64 chevaux dans les écuries du staduim, uniquement pour la course de chars. Nous en prenons 16 par spectacle. On a vraiment une très bonne rotation. » ajoute Sébastien Monnereau
En tout, ce sont 63 personnes qui, sur scène, comme en coulisses, participent à la magie du spectacle pour un retour en arrière de 2000 ans à chaque fois réussi.
Et le final ne peut pas laisser indifférent : au centre de l'arène, la spina se transforme et apparaît alors une incroyable galère romaine. « La spina se déploie, on a une quarantaine de rames qui s'ouvrent, qui sortent pour laisser apparaître un grand mât. L’éperon de la galère sort devant. Et ensuite, elle se met à pivoter sur elle-même et s'embrase ! » décrit Sébastien Monnereau, le directeur du spectacle.
« C'est comme un transformer ! » s’enthousiasme un jeune spectateur. Le nouveau décor est tellement imposant que les cascadeurs, dans les rôles des gladiateurs, sont eux-mêmes impressionnés : « On a tous les regards sur nous. Les gens sont impressionnés de voir des gladiateurs. Et on a un spectacle plus technique avec une machinerie qui est énorme. Forcément, pour nous, c'est une adaptation. » témoigne Baptiste Henneau, gladiateur dans le spectacle.
Le grand classique, la course de chars, fait toujours son effet : « Nous avons 64 chevaux dans les écuries du staduim, uniquement pour la course de chars. Nous en prenons 16 par spectacle. On a vraiment une très bonne rotation. » ajoute Sébastien Monnereau
En tout, ce sont 63 personnes qui, sur scène, comme en coulisses, participent à la magie du spectacle pour un retour en arrière de 2000 ans à chaque fois réussi.
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