Les Machines de l’île à Nantes, un bestiaire mécanique fascinant
date 30/05/2025 - 10:09 | micro_reportage Ivan Mouton
À Nantes, les Machines de l’île accueillent chaque année près de 250 000 visiteurs. Entre éléphant géant, héron volant ou caméléon articulé, ces créatures mécaniques offrent une expérience immersive unique. Le public peut même participer à leur animation, encadré par des médiateurs machinistes.

Les Machines de l'île, La Galerie des Machines, Nantes, Le Vol du Héron, Le Voyage à Nantes - © Carmel Keane
Les Machines de l’île à Nantes, un…
Les Machines de l’île à Nantes, un bestiaire mécanique fascinant
play
0:00
0:00
volume-high
Sous la nef de l’île de Nantes, un héron déploie ses ailes métalliques. Autour, paresseux, caméléons ou colibris prennent vie dans une scénographie qui mêle ingéniosité et poésie.
Depuis 2007, les Machines de l’île attirent chaque année près de 250 000 visiteurs. Ce projet né de l’imagination de François Delarozière et Pierre Oréfice a transformé les anciens chantiers navals en un théâtre urbain peuplé de créatures mécaniques. « Ce sont des machines manipulables par le public », souligne Anna Raguin, responsable de la production événementielle. Accompagnés par des médiateurs machinistes, les visiteurs sont acteurs de ces spectacles animés.
L’atelier de construction, piloté par la compagnie La Machine, est à l’origine d’une dizaine de créations : une araignée géante, une chenille mobile, un éléphant de 50 tonnes. « On embarque les gens dans une histoire », explique Nicolas Rouesné, médiateur machiniste. Certaines installations invitent à l’évasion sensorielle, d’autres laissent place au silence, comme le vol du héron.
Chaque animal est pensé pour reproduire un mouvement réaliste, tout en laissant visible son mécanisme. Une double lecture à la fois esthétique et technique. L’éléphant, figure emblématique, projette parfois un jet d’eau pour le plus grand bonheur des enfants. Les Machines de l’île sont devenues un repère culturel de la ville. Une parenthèse enchantée en plein cœur de Nantes.
Depuis 2007, les Machines de l’île attirent chaque année près de 250 000 visiteurs. Ce projet né de l’imagination de François Delarozière et Pierre Oréfice a transformé les anciens chantiers navals en un théâtre urbain peuplé de créatures mécaniques. « Ce sont des machines manipulables par le public », souligne Anna Raguin, responsable de la production événementielle. Accompagnés par des médiateurs machinistes, les visiteurs sont acteurs de ces spectacles animés.
L’atelier de construction, piloté par la compagnie La Machine, est à l’origine d’une dizaine de créations : une araignée géante, une chenille mobile, un éléphant de 50 tonnes. « On embarque les gens dans une histoire », explique Nicolas Rouesné, médiateur machiniste. Certaines installations invitent à l’évasion sensorielle, d’autres laissent place au silence, comme le vol du héron.
Chaque animal est pensé pour reproduire un mouvement réaliste, tout en laissant visible son mécanisme. Une double lecture à la fois esthétique et technique. L’éléphant, figure emblématique, projette parfois un jet d’eau pour le plus grand bonheur des enfants. Les Machines de l’île sont devenues un repère culturel de la ville. Une parenthèse enchantée en plein cœur de Nantes.

Les Machines de l'île, La Galerie des Machines, Nantes, Le Caméléon Le Voyage à Nantes - © Carmel Keane
A voir aussi