Coup de soleil en voiture : faut-il se protéger derrière les vitres ?
date 06/06/2025 - 15:19 | micro_reportage La rédaction
Les vitres de voiture bloquent en grande partie les UVB, responsables des coups de soleil. Mais selon le type de voiture et les conditions de conduite, une protection solaire reste toujours très utile.

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Vous prévoyez de partir en week-end et vous vous demandez : peut-on attraper un coup de soleil derrière les vitres de sa voiture ? Et bien pas vraiment. Les UVB, qui causent les coups de soleil immédiats, sont bloqués par le verre automobile standard, que ce soit le pare-brise ou les vitres latérales. Vous ne ressortirez donc pas rouge écarlate d’un trajet en plein soleil.
Mais il y a tout de même un danger. Les rayons UVA, eux, traversent plus facilement le verre, en particulier celui des vitres latérales. Ils ne provoquent pas de brûlure immédiate, mais pénètrent profondément dans la peau. Conséquences : vieillissement prématuré, rides, taches pigmentaires, et à long terme, un risque accru de certains cancers cutanés.
Le pare-brise est souvent traité pour limiter ce passage des UVA, ce qui n’est pas systématiquement le cas des vitres latérales. De plus, certains véhicules anciens offrent une protection moindre, et rouler fenêtres ouvertes ou avec un toit ouvrant augmente naturellement l’exposition.
En pratique, pour un trajet court en ville, le risque est minime. En revanche, pour de longs trajets estivaux, surtout sur autoroute, mieux vaut prévoir une crème solaire adaptée pour le visage et les bras, ou porter des vêtements couvrants légers.
Le coup de soleil derrière les vitres reste rare, mais les UVA, eux, ne s’arrêtent pas au verre. Protéger sa peau reste un bon réflexe.
Mais il y a tout de même un danger. Les rayons UVA, eux, traversent plus facilement le verre, en particulier celui des vitres latérales. Ils ne provoquent pas de brûlure immédiate, mais pénètrent profondément dans la peau. Conséquences : vieillissement prématuré, rides, taches pigmentaires, et à long terme, un risque accru de certains cancers cutanés.
Le pare-brise est souvent traité pour limiter ce passage des UVA, ce qui n’est pas systématiquement le cas des vitres latérales. De plus, certains véhicules anciens offrent une protection moindre, et rouler fenêtres ouvertes ou avec un toit ouvrant augmente naturellement l’exposition.
En pratique, pour un trajet court en ville, le risque est minime. En revanche, pour de longs trajets estivaux, surtout sur autoroute, mieux vaut prévoir une crème solaire adaptée pour le visage et les bras, ou porter des vêtements couvrants légers.
Le coup de soleil derrière les vitres reste rare, mais les UVA, eux, ne s’arrêtent pas au verre. Protéger sa peau reste un bon réflexe.