Joe Smooth « Promised Land » (1988)
date 15/05/2024 - 10:28 | micro_reportage Gilles Ravarino
Si les années 70 ont été marquées par le disco, les années 80 ont quant à elles été des années marquées par la house. En 1988, Joe Smooth publiait le très biblique tube ‘‘Promised Land’’.

Joe Smooth "Promised Land" (1988)
Joe Smooth "Promised Land" (1988)
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Joe Smooth a appris la musique tout seul. Depuis sa plus tendre enfance, cet autodidacte suit son inspiration et c'est vers 16 ans qu'il joue dans des clubs, en créant des ambiances mystiques. Immédiatement, la scène underground le reconnait comme l'un des siens et les choses deviennent plus sérieuses lorsqu'il rejoint le Label DJ International Music. Là, il se donne à fond dans la production et l'écriture de paroles, mais d'abord pour les autres.
En 1988, il délivre le morceau phare de sa carrière ‘‘Promised Land’’, un titre écrit pour rassembler les gens et être positif malgré la pauvreté. « Promised Land », c’est l’histoire fantasmée de l’humanité et de tous nos frères et sœurs qui rejoignent la Terre promise. Un morceau qui se chante, qui se danse et qui se vit. On peut sourire devant les paroles pleines de bons sentiments, mais il faut replacer ce titre dans son contexte : à l’époque, les clubs restaient les rares espaces de libertés pour les communautés noire et gay.
Si ce titre n'a pas les honneurs des hits parades, ni des ventes de singles, il reste une œuvre fondatrice de la house music de Chicago et figure dans la bande son du jeu vidéo Grand Theft Auto : San Andreas.
Le magazine Mixmag le classe n°20 dans sa liste des 100 meilleurs titres dance de tous les temps.
En 1988, il délivre le morceau phare de sa carrière ‘‘Promised Land’’, un titre écrit pour rassembler les gens et être positif malgré la pauvreté. « Promised Land », c’est l’histoire fantasmée de l’humanité et de tous nos frères et sœurs qui rejoignent la Terre promise. Un morceau qui se chante, qui se danse et qui se vit. On peut sourire devant les paroles pleines de bons sentiments, mais il faut replacer ce titre dans son contexte : à l’époque, les clubs restaient les rares espaces de libertés pour les communautés noire et gay.
Si ce titre n'a pas les honneurs des hits parades, ni des ventes de singles, il reste une œuvre fondatrice de la house music de Chicago et figure dans la bande son du jeu vidéo Grand Theft Auto : San Andreas.
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