Les Kei Cars, le phénomène japonais bientôt en Europe ?
date 29/04/2024 - 14:55 | micro_reportage Sébastien Dath
Contrairement aux constructeurs du vieux continent qui proposent des véhicules toujours plus gros, plus lourds et plus chers, les industriels du pays du soleil levant ont choisi des voitures petites, légères et abordables.
© Nissan
Les Kei Cars, le phénomène japonai…
Les Kei Cars, le phénomène japonais bientôt en Europe ?
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Cette semaine, notre partenaire nous propose de suivre le conseil du patron de Renault, Luca de Meo, et d’aller nous inspirer de ce qui se fait au Japon, afin de contrecarrer la tendance qui veut qu’actuellement en Europe les constructeurs proposent, souvent au détriment de l’écologie, des voitures de plus en plus grosses, de plus en plus lourdes et de plus en plus chères.
C’est dans cet état d’esprit que dans son numéro du mois de mai, L’Automobile Magazine nous présente le phénomène des Kei Cars. Un terme que nous précise Gaël Brianceau, journaliste au mensuel, qui est une traduction anglophone du mot ’’Keijidōsha’’, qui signifie tout simplement voiture légère en japonais. Pour entrer dans cette catégorie, une voiture ne doit pas faire plus de 3m40 de long et pour vous donner un moyen de comparer, une Twingo fait 3m67. Elle ne doit également pas dépasser les 1m48 de large et en termes de motorisation, elle doit être plafonnée à 64 chevaux maximum.
Au-delà de leurs mensurations réduites, ces Kei Cars offrent aussi et surtout l’avantage d’être à bas prix. Ainsi, précise notre confrère, « ce sont des voitures qui commencent en-dessous de l’équivalent de 10.000 euros chez nous », ce qui concrètement n’existe pas en Europe pour une voiture neuve. Autre facteur qui fait que ces Kei Cars, qui cartonnent aussi bien dans les villes que dans les campagnes au pays du soleil levant, pourraient trouver leur public sur le vieux continent, c’est qu’elles sont petites à l’extérieur, mais spacieuses à l’intérieur, à l’image de la Nissan Sakura.
La rédaction de L’Automobile Magazine, qui nous présente plusieurs modèles, affirme que ces voitures, si elles ne sont pas parfaites pour faire de longs trajets sur l’autoroute, sont intelligentes, faciles à garer et ne coûtent pas un œil ni en consommation, ni en entretien.
Enfin, autre atout, explique Gaël Brianceau, « les Kei Cars ne sont pas des petits objets tristounets, au contraire, ce sont des voitures qui ont un look adorable ». Un argument supplémentaire qui selon lui pourrait faire mouche en Europe, « parce que ce n’est pas parce que l’on achète quelque chose de pas cher que ce n’est forcément pas bien ».
C’est dans cet état d’esprit que dans son numéro du mois de mai, L’Automobile Magazine nous présente le phénomène des Kei Cars. Un terme que nous précise Gaël Brianceau, journaliste au mensuel, qui est une traduction anglophone du mot ’’Keijidōsha’’, qui signifie tout simplement voiture légère en japonais. Pour entrer dans cette catégorie, une voiture ne doit pas faire plus de 3m40 de long et pour vous donner un moyen de comparer, une Twingo fait 3m67. Elle ne doit également pas dépasser les 1m48 de large et en termes de motorisation, elle doit être plafonnée à 64 chevaux maximum.
Au-delà de leurs mensurations réduites, ces Kei Cars offrent aussi et surtout l’avantage d’être à bas prix. Ainsi, précise notre confrère, « ce sont des voitures qui commencent en-dessous de l’équivalent de 10.000 euros chez nous », ce qui concrètement n’existe pas en Europe pour une voiture neuve. Autre facteur qui fait que ces Kei Cars, qui cartonnent aussi bien dans les villes que dans les campagnes au pays du soleil levant, pourraient trouver leur public sur le vieux continent, c’est qu’elles sont petites à l’extérieur, mais spacieuses à l’intérieur, à l’image de la Nissan Sakura.
La rédaction de L’Automobile Magazine, qui nous présente plusieurs modèles, affirme que ces voitures, si elles ne sont pas parfaites pour faire de longs trajets sur l’autoroute, sont intelligentes, faciles à garer et ne coûtent pas un œil ni en consommation, ni en entretien.
Enfin, autre atout, explique Gaël Brianceau, « les Kei Cars ne sont pas des petits objets tristounets, au contraire, ce sont des voitures qui ont un look adorable ». Un argument supplémentaire qui selon lui pourrait faire mouche en Europe, « parce que ce n’est pas parce que l’on achète quelque chose de pas cher que ce n’est forcément pas bien ».
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