Les masques biodégradables
date 17/05/2021 - 12:07 | micro_reportage Virginie Decorte
Avec la pandémie de Covid-19, ce sont environ 124 millions de masques qui sont utilisés et jetés chaque mois dans le monde. Inévitablement, une partie finit dans la nature. Pour lutter contre cette pollution, Stéphanie Gauvenet, à la tête d’une start-up spécialisée dans le chanvre, a trouvé la solution : un masque biodégradable qui disparaît en 9 mois contre 500 ans pour les masques en polypropylène !

Les masques biodégradables
Les masques biodégradables
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Ce masque biodégradable a été imaginé par une start-up de l’Yonne. Il est homologué anti-Covid-19, fabriqué en chanvre et biocompostable.
Certifié niveau 1, ce masque ne peut pas être porté par les soignants mais par tout le reste de la population, car il filtre à 98%. Stéphanie Gauvenet, la Directrice de GéoChanvre, précise que c’est « un masque particulier et original à base de fibres de chanvre qui a un aspect naturel. Nous fabriquons des toiles végétales 100% biodégradables ou biocompostables pour une partie de la gamme. On était dans une catégorie hybride car nous sommes classés textile alors que le masque n’est pas en tissu comme on a l’habitude de le voir ».
Plutôt que de jeter notre masque dans une poubelle et de voir ce qu’il peut devenir, il est intéressant de les réutiliser en le mettant au pied de son rosier ou de ses plantations par exemple. Ainsi on lui donne une deuxième vie avant qu'il ne se dégrade complètement. Et dans cette période compliquée pour tout le monde, la plus belle des satisfactions pour Stéphanie Gauvenet, c’est de pouvoir aider.
Aujourd’hui, la start-up produit 150 000 masques par semaine. Toutes les infos sur le site officiel
Certifié niveau 1, ce masque ne peut pas être porté par les soignants mais par tout le reste de la population, car il filtre à 98%. Stéphanie Gauvenet, la Directrice de GéoChanvre, précise que c’est « un masque particulier et original à base de fibres de chanvre qui a un aspect naturel. Nous fabriquons des toiles végétales 100% biodégradables ou biocompostables pour une partie de la gamme. On était dans une catégorie hybride car nous sommes classés textile alors que le masque n’est pas en tissu comme on a l’habitude de le voir ».
Plutôt que de jeter notre masque dans une poubelle et de voir ce qu’il peut devenir, il est intéressant de les réutiliser en le mettant au pied de son rosier ou de ses plantations par exemple. Ainsi on lui donne une deuxième vie avant qu'il ne se dégrade complètement. Et dans cette période compliquée pour tout le monde, la plus belle des satisfactions pour Stéphanie Gauvenet, c’est de pouvoir aider.
Aujourd’hui, la start-up produit 150 000 masques par semaine. Toutes les infos sur le site officiel
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