Retournement de tendance sur le marché des véhicules neufs en France en 2024
date 02/09/2024 - 13:32 | micro_reportage La rédaction
Le marché automobile français connaît une baisse significative en août 2024. Les immatriculations de voitures particulières neuves ont reculé de 24,32% par rapport à août 2023. Sur les huit premiers mois de l'année, la baisse est plus modérée, de 0,48%. Du côté des véhicules utilitaires légers, la tendance est plus positive, avec une hausse de 8,07% sur les huit premiers mois.
Le marché automobile français a connu des évolutions contrastées en 2024, entre recul marqué des immatriculations de voitures particulières neuves et progression des véhicules utilitaires légers.
Selon les chiffres provisoires de la Plateforme Automobile (PFA), les immatriculations de voitures particulières neuves ont chuté de 24,32% en août 2024 par rapport à août 2023, atteignant 85 977 unités. Cette baisse significative intervient dans un contexte économique incertain, avec 21 jours ouvrés en août 2024 contre 22 en août 2023.
Sur le plan énergétique, on observe une évolution du mix. Les véhicules Essence représentent 31,8% du marché, en baisse par rapport au 37,9% sur la même période en 2023. Pour les Diesel, ils ne concernent plus que 7,8% des ventes (10,3% en août 2023). Les Hybride (toutes catégories) grimpent à 39,8% du marché (32,3% sur la même période en 2023) et les Électrique atteignent 16,8% contre 15,4%.
Cependant, sur les 8 premiers mois de l'année, le recul est plus modéré, de 0,48%, avec 1 126 901 voitures particulières neuves immatriculées. « Ces chiffres reflètent les défis auxquels fait face le secteur automobile français, confronté à un contexte économique incertain », souligne la PFA dans son communiqué.
À l'inverse, le segment des véhicules utilitaires légers neufs (moins de 5,1 tonnes) affiche une tendance plus positive. En août 2024, les immatriculations ont reculé de 12,51%, à 19 064 unités. Mais sur les 8 premiers mois, elles ont progressé de 8,07%, pour atteindre 261 850 véhicules.
Au total, le marché des véhicules légers neufs (voitures particulières et véhicules utilitaires légers) a enregistré une baisse de 22,42% en août 2024, pour 105 041 unités. Cependant, sur les 8 premiers mois, la hausse est de 1,03%, avec 1 388 751 immatriculations.
Ces résultats contrastés reflètent les mutations technologiques et les incertitudes économiques auxquelles fait face le secteur automobile français. Les constructeurs doivent s'adapter à de nouvelles réglementations et à l'évolution des attentes des consommateurs, tout en navigant dans un environnement économique instable.
Selon les chiffres provisoires de la Plateforme Automobile (PFA), les immatriculations de voitures particulières neuves ont chuté de 24,32% en août 2024 par rapport à août 2023, atteignant 85 977 unités. Cette baisse significative intervient dans un contexte économique incertain, avec 21 jours ouvrés en août 2024 contre 22 en août 2023.
Sur le plan énergétique, on observe une évolution du mix. Les véhicules Essence représentent 31,8% du marché, en baisse par rapport au 37,9% sur la même période en 2023. Pour les Diesel, ils ne concernent plus que 7,8% des ventes (10,3% en août 2023). Les Hybride (toutes catégories) grimpent à 39,8% du marché (32,3% sur la même période en 2023) et les Électrique atteignent 16,8% contre 15,4%.
Cependant, sur les 8 premiers mois de l'année, le recul est plus modéré, de 0,48%, avec 1 126 901 voitures particulières neuves immatriculées. « Ces chiffres reflètent les défis auxquels fait face le secteur automobile français, confronté à un contexte économique incertain », souligne la PFA dans son communiqué.
À l'inverse, le segment des véhicules utilitaires légers neufs (moins de 5,1 tonnes) affiche une tendance plus positive. En août 2024, les immatriculations ont reculé de 12,51%, à 19 064 unités. Mais sur les 8 premiers mois, elles ont progressé de 8,07%, pour atteindre 261 850 véhicules.
Au total, le marché des véhicules légers neufs (voitures particulières et véhicules utilitaires légers) a enregistré une baisse de 22,42% en août 2024, pour 105 041 unités. Cependant, sur les 8 premiers mois, la hausse est de 1,03%, avec 1 388 751 immatriculations.
Ces résultats contrastés reflètent les mutations technologiques et les incertitudes économiques auxquelles fait face le secteur automobile français. Les constructeurs doivent s'adapter à de nouvelles réglementations et à l'évolution des attentes des consommateurs, tout en navigant dans un environnement économique instable.