Transpolis : la mobilité connectée grandeur nature
date 22/09/2019 - 02:14 | micro_reportage Stéphanie Dionnet
Tester les dernières innovations en matière de transport urbain et de mobilité connectée, dans des conditions proches de la réalité, c’est possible, au sein d'un site unique en Europe, à 50 km de Lyon.

Transpolis : la mobilité connectée…
Transpolis : la mobilité connectée grandeur nature
play
0:00
0:00
volume-high
Transpolis est un formidable terrain de jeu grandeur nature qui permet de mettre à l’épreuve les nouvelles technologies de la mobilité urbaine connectée et automatisée.
Sur une surface de 80 hectares, constructeurs de véhicules autonomes, entreprises de voirie, spécialistes du dialogue entre machines, ou encore exploitants de bus testent leurs dernières innovations, en particulier sous l'angle de la sécurité : « On a collecté près de 20 millions d'euros privés et publics, explique Stéphane Barbier, directeur du développement de Transpolis, et on a rénové un ancien site militaire pour en faire une sorte de ville laboratoire. »
Sur le site installé à Saint-Maurice-de-Rémens, au nord-est de Lyon, on retrouve une portion d'autoroute d'un kilomètre de long, une route de campagne avec 6 km de voirie et 30 hectares supplémentaires dédiés à l’environnement urbain : « En fait, aujourd'hui on répond aux besoins des constructeurs de tous types de véhicules, poursuit Stéphane Barbier, que ce soit des camions, des véhicules avec passagers, des navettes, pour tester les limites des capteurs embarqués dans des situations critiques et des freinages d'urgence, des dépassements dangereux, et voir dans quelle mesure le véhicule a le bon comportement et s'arrête au bon moment. »
Objectif de Transpolis : être au plus près des conditions réelles de circulation pour se confronter à toutes les problématiques d’essais de véhicules, dans un environnement urbain en perpétuelle évolution.
Sur une surface de 80 hectares, constructeurs de véhicules autonomes, entreprises de voirie, spécialistes du dialogue entre machines, ou encore exploitants de bus testent leurs dernières innovations, en particulier sous l'angle de la sécurité : « On a collecté près de 20 millions d'euros privés et publics, explique Stéphane Barbier, directeur du développement de Transpolis, et on a rénové un ancien site militaire pour en faire une sorte de ville laboratoire. »
Sur le site installé à Saint-Maurice-de-Rémens, au nord-est de Lyon, on retrouve une portion d'autoroute d'un kilomètre de long, une route de campagne avec 6 km de voirie et 30 hectares supplémentaires dédiés à l’environnement urbain : « En fait, aujourd'hui on répond aux besoins des constructeurs de tous types de véhicules, poursuit Stéphane Barbier, que ce soit des camions, des véhicules avec passagers, des navettes, pour tester les limites des capteurs embarqués dans des situations critiques et des freinages d'urgence, des dépassements dangereux, et voir dans quelle mesure le véhicule a le bon comportement et s'arrête au bon moment. »
Objectif de Transpolis : être au plus près des conditions réelles de circulation pour se confronter à toutes les problématiques d’essais de véhicules, dans un environnement urbain en perpétuelle évolution.
A voir aussi