Un jour à Cannes - 22 mai
date 24/05/2019 - 11:27 | micro_reportage La rédaction
Ce mercredi, la Croisette se prépare à découvrir « Matthias et Maxime » le nouveau Xavier Dolan qui revient à Cannes 3 ans après « Juste la Fin du Monde » qui lui avait valu le Grand Prix ! Et puis le 2ème film en compétition c’est « Roubaix, une Lumière » d’Arnaud Desplechin, avec Roschdy Zem, Léa Seydoux, et Sara Forestier. Virginie Decorte est en compagnie de Sylvestre Picard du Magazine Première !
© Shayne Laverdiere
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« Matthias et Maxime » le nouveau Xavier Dolan, plus autobiographique que ces derniers films, est l'histoire de deux amis qui se rencontrent sur un tournage et qui tombent petit à petit amoureux...
Sylvestre Picard préfère ce genre de film : « C'est surtout le retour de Xavier Dolan à la forme qu'on lui préfère. Après son film précédent imparfait, un film américain avec beaucoup de stars qui a été très compliqué à monter et qui durait des heures (...) Là, il revient à une forme beaucoup plus proche du cinéma de lui qu'on aime, à la Mommy, à la Juste La Fin du Monde. Des drames humains shootés avec un flair incroyable qui vont à 10 000 à l'heure. Du mélo, des sentiments qui claquent, de l'accent Québécois, on espère beaucoup... »
Autre film en compétition « Roubaix, une Lumière » d'Arnaud Desplechin. Un soir de Noël une vieille femme est assassinée. C'est inspiré d'un fait divers. Les accusés du meurtre ont été filmés et c'est à partir de ces images que le réalisateur a commencé à bâtir son film : « ça parait très intrigant sur le papier, c'est toujours à Roubaix, la ville d'où il vient, ça parait parfaitement s'inscrire dans la filmographie de Desplechin... On a hâte ! »
Sylvestre Picard préfère ce genre de film : « C'est surtout le retour de Xavier Dolan à la forme qu'on lui préfère. Après son film précédent imparfait, un film américain avec beaucoup de stars qui a été très compliqué à monter et qui durait des heures (...) Là, il revient à une forme beaucoup plus proche du cinéma de lui qu'on aime, à la Mommy, à la Juste La Fin du Monde. Des drames humains shootés avec un flair incroyable qui vont à 10 000 à l'heure. Du mélo, des sentiments qui claquent, de l'accent Québécois, on espère beaucoup... »
Autre film en compétition « Roubaix, une Lumière » d'Arnaud Desplechin. Un soir de Noël une vieille femme est assassinée. C'est inspiré d'un fait divers. Les accusés du meurtre ont été filmés et c'est à partir de ces images que le réalisateur a commencé à bâtir son film : « ça parait très intrigant sur le papier, c'est toujours à Roubaix, la ville d'où il vient, ça parait parfaitement s'inscrire dans la filmographie de Desplechin... On a hâte ! »
Xavier Dolan à Cannes... Les « pronostics » de Sylvestre Picard...
Podcast de 13h et 17h
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C'est le retour de Xavier Dolan ! Trois ans après avoir remporté le Grand Prix pour son film « Juste la Fin du Monde ».
Le journaliste du magazine Première semble assez enthousiaste pour ce nouveau film : « Il revient à sa forme (de cinéma) qu'on apprécie. Faire des drames familiaux et intimes qui sont filmés presque comme des »blockbusters« où il fait exploser les sentiments en utilisant les ralentis... C'est ça qu'on veut avec lui : des grands sentiments et on veut finir comme ses personnages, en larme, par terre sur le sol de la cuisine... »
Le journaliste du magazine Première semble assez enthousiaste pour ce nouveau film : « Il revient à sa forme (de cinéma) qu'on apprécie. Faire des drames familiaux et intimes qui sont filmés presque comme des »blockbusters« où il fait exploser les sentiments en utilisant les ralentis... C'est ça qu'on veut avec lui : des grands sentiments et on veut finir comme ses personnages, en larme, par terre sur le sol de la cuisine... »
« Roubaix, une Lumière », la critique de Sylvestre Picard
© Shanna Besson / Why Not Productions
Coup de projecteur sur « Roubaix, une Lumière » nouveau long métrage d’Arnaud Desplechin, avec Roschdy Zem, Léa Seydoux, et Sara Forestier...un film inspiré d'un fait divers, une personne âgée retrouvée assassinée à son domicile la nuit de Noël.
Pour le journaliste de Première : « On est dans le crime le plus sordide qui soit. Le film devient intéressant en confrontant la réalité et la fiction... »
Pour le journaliste de Première : « On est dans le crime le plus sordide qui soit. Le film devient intéressant en confrontant la réalité et la fiction... »
Podcast de 15h et 19h
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