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Accueil | Les Tubes de l'été | "Je l'aime à mourir" : l'été 79 de Francis Cabrel

« Je l'aime à mourir » : l'été 79 de Francis Cabrel

date 02/08/2023 - 10:41 | micro_reportage La rédaction
Cette année-là, Elvis Presley et Charlie Chaplin nous quittaient, la chanteuse Marie Myriam faisait remporter l'Eurovision à la France avec « L'Oiseau et l'enfant », et au cinéma, deux films cultes sortaient : Star Wars et La Fièvre du samedi soir. Du côté de la musique, le tube de l'été 77 venait tout droit d'Astaffort...
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 "Je l'aime à mourir" : l'été 79 de Francis Cabrel
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Patrick Hernandez, Amy Stewart, M, également connu sous le nom de Robin Scott, le chanteur britannique (aucun lien avec Mathieu Chedid), ou encore Billy Joel, l'auteur de la ballade mémorable « Honesty », faisaient partie des nombreux tubes qui ont accompagné notre été 1979. Mais pour enflammer les cœurs cet été-là, on pouvait également compter sur un jeune chanteur du Lot-et-Garonne, Francis Cabrel. Son deuxième album, « Les chemins de Traverse », a immédiatement séduit le grand public grâce à une chanson intitulée « Je l'aime à mourir », un tube toujours incontournable repris plus récemment par Shakira. Autant dire que cet été-là a changé la vie du chanteur :

« Au départ, je chantais 'Je l'aime à mourir', et personne ne faisait vraiment attention, mais à la fin de l'été, cette chanson était sur toutes les lèvres. C'était quand même assez impressionnant à vivre », se souvient Francis Cabrel. « Je la chante toujours, je ne fais pas beaucoup de spectacles, mais chaque fois que j'en fais, elle est bien sûr au programme, généralement vers la fin pendant les rappels pour faire patienter tout le monde. Donc, il est vrai qu'elle ne m'appartient presque plus. Des gens l'ont interprétée, les gens la connaissent par cœur, c'est très agréable. »

Deux ans plus tard, à la fin de l'été 1979, le chanteur, pourtant attaché à sa région natale du Sud-Ouest, décide de s'installer à Paris sous la pression du succès : « Oui, cela devenait difficile et compliqué de faire autant d'allers-retours entre Astaffort et Paris. Donc, avec mon épouse, nous nous sommes installés à Paris fin 1979. J'y suis resté une dizaine d'années, environ 10 ou 12 ans, et j'ai beaucoup aimé... »