Cover Art
Titre de la chanson
Sous-titre ou Artiste
00:00 | 00:00
       
recherche_mini
cone LES TRAVAUX
replay REPLAY
newspaper L'ACTUALITÉ
podcasts PODCASTS
france TRAFIC
musique RETROUVER UN TITRE
micro LA RADIO
commentaire CONTACT
 
écouter 
Radio VINCI Autoroutes
recherche_mini
 
             
LES TRAVAUXREPLAYL'ACTUALITÉPODCASTSTRAFICRETROUVER UN TITRELA RADIOCONTACT
Accueil | Les Tubes de l'été | 1990 : Oui, on adore Pauline Ester

1990 : Oui, on adore Pauline Ester

date 07/08/2023 - 05:47 | micro_reportage La rédaction
Le saviez-vous ? Pauline Ester a trouvé son pseudonyme à l'arrière d'un camion alors que sa carrière décollait. Plongée dans les coulisses de la création de ce tube de l'année 1990.
illustration de 1990 : Oui, on adore Pauline Ester
 1990 : Oui, on adore Pauline Ester
 1990 : Oui, on adore Pauline Ester
play
0:00
0:00
volume-high 
En 1990, le monde découvrait la « Soca Dance ». Mais les Français pouvaient tout aussi bien se déhancher sur l'incontournable « Maldon » de Zouk Machine. Thierry Hazard remettait au goût du jour le « Jerk » et du côté de la musique dance, on pouvait compter sur les « New Kids On The Block » avec leur titre « Step By Step », ou encore sur Benny B et son cultissime « Mais vous êtes fou ? ». Ah oui, c'était une belle année pour la musique. C'est également durant cet été là que Pauline Ester a connu l'un de ses plus grands succès avec « Oui, je l'adore ».

Pauline Ester, le pseudonyme de Sabrina Ocon, vit entre Toulouse et Paris.
« J'ai su que cette chanson allait marcher, d'une manière fulgurante qui m'a même terrifiée. J'ai ressenti toutes les peurs qui l'accompagnaient. Je me demandais comment j'allais gérer tout cela. Cela a été un changement de vie complet. À Toulouse, j'étais Sabrina et quand j'allais à Paris, j'étais la petite Pauline. »

Avec « Oui, je l'adore », Pauline Ester se hisse à la onzième place du Top 50. Le titre se vend à plus de 250 000 exemplaires. De plus, la mélodie du refrain a été largement reprise par une compagnie d'assurance pour ses différentes campagnes publicitaires.

Son pseudonyme, elle l'a trouvé sur la route. Cela a suffi à éveiller notre curiosité. « C'est une véritable histoire. Nous étions à Toulouse, avec Frédéric L'oiseau, avec qui je vivais et avec qui j'écrivais ces chansons. Puis, Jean-Pierre Haie de la maison de disques Polydor nous a annoncé qu'il voulait nous signer. Cependant, il nous a dit que nous ne pouvions pas conserver mon prénom. »

À l'époque, la chanteuse se produisait dans des bars sous son vrai nom, qui rappelait une autre Sabrina, connue pour « Boys, Boys, Boys ». Elle devait trouver un nom d'artiste. « Nous étions coincés derrière un camion, j'avais une feuille dans la main, j'essayais de trouver un pseudonyme. En levant la tête, j'ai vu ‘‘Polyester S.A.’’. Et dans ma tête, ça a fait tilt. »