Abarth 500e : petite et costaud
date 18/06/2023 - 15:31 | micro_reportage Perrine Martin
Le constructeur et préparateur italien, qui appartient au groupe Stellantis, dévoile sa nouvelle version de la célèbre petite Fiat. Une citadine électrique, mais pas silencieuse pour autant.
© Stellantis
Abarth 500e : petite et costaud
Abarth 500e : petite et costaud
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Connue et reconnue pour ses revisites musclées de véhicules de série, la marque Abarth récidive une fois de plus avec sa toute nouvelle version de la Fiat 500. Une petite citadine, 100% électrique, que le préparateur italien a souhaité, comme à son habitude, gonflée à la testostérone à l’extérieur, comme à l’intérieur.
Pour ce faire, le constructeur, qui appartient au groupe Stellantis (PSA Peugeot Citroën - Fiat - Chrysler Automobile), a dû sonoriser la motorisation du véhicule, « parce qu’une Abarth qui ne fait pas de bruit, ce n'est pas rigolo » estime Gaël Brianceau, journaliste à L’Automobile Magazine. Comme l'explique le rédacteur du mensuel, à l’instar d’un jeu vidéo, les ingénieurs ont enregistré le son d’une version thermique qu’ils diffusent dans « une sorte de caisse de résonance » positionnée à l’arrière du véhicule.
Au-delà de cette illusion presque parfaite, notre confrère raconte que le plaisir de conduire se limite à la ville et que le bruit est beaucoup moins convaincant à grande vitesse, sur autoroute par exemple. En ce qui concerne le prix de ce petit bolide watté, « le tarif de base, c’est 36.900 euros », confie Gaël Brianceau. Selon lui, cela représente beaucoup d’argent, mais cette Abarth 500e se positionne juste en-dessous de la Mini électrique, sa concurrente qui commence à 37.350 euros. Un argument qui finira peut-être de convaincre la clientèle « des beaux quartiers » d’opter pour cette Fiat « virilisée ».
Pour ce faire, le constructeur, qui appartient au groupe Stellantis (PSA Peugeot Citroën - Fiat - Chrysler Automobile), a dû sonoriser la motorisation du véhicule, « parce qu’une Abarth qui ne fait pas de bruit, ce n'est pas rigolo » estime Gaël Brianceau, journaliste à L’Automobile Magazine. Comme l'explique le rédacteur du mensuel, à l’instar d’un jeu vidéo, les ingénieurs ont enregistré le son d’une version thermique qu’ils diffusent dans « une sorte de caisse de résonance » positionnée à l’arrière du véhicule.
Au-delà de cette illusion presque parfaite, notre confrère raconte que le plaisir de conduire se limite à la ville et que le bruit est beaucoup moins convaincant à grande vitesse, sur autoroute par exemple. En ce qui concerne le prix de ce petit bolide watté, « le tarif de base, c’est 36.900 euros », confie Gaël Brianceau. Selon lui, cela représente beaucoup d’argent, mais cette Abarth 500e se positionne juste en-dessous de la Mini électrique, sa concurrente qui commence à 37.350 euros. Un argument qui finira peut-être de convaincre la clientèle « des beaux quartiers » d’opter pour cette Fiat « virilisée ».
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