César Franck par Tanguy de Williencourt
date 13/06/2022 - 12:22 | micro_reportage Charlotte Latour
Compositeur et organiste, César Franck a marqué la musique française de la seconde partie du XIXème siècle. Ses œuvres ont été éclipsées par d’autres figures musicales de son temps, mais le pianiste Tanguy de Williencourt y remédie dans son nouvel album.

© Jean-Baptiste Millot
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César Franck par Tanguy de Williencourt
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César Franck, compositeur et organiste de la seconde moitié du XIXème siècle, fête son bicentenaire cette année. L’occasion pour Tanguy de Williencourt de lui rendre hommage dans son nouvel album paru le 6 mai 2022.
Si Tanguy de Williencourt est passionné par la musique, ce n’est pas son seul centre d’intérêt : « J’adore la course à pied, depuis très longtemps. J’adore aussi la randonnée, même les ascensions… Je suis allé en haut du Kilimandjaro notamment, en Bolivie aussi pour des 6000 mètres. J’ai besoin d’évasion, et cela inspire mon jeu pianistique évidemment. »
Un jeu pianistique au profit des compositions de César Franck, un nom qui ne vous dit peut-être rien, mais que le musicien de 32 ans veut remettre à l’honneur : « César Franck est un compositeur qui a été un peu éclipsé par ses contemporains, comme Debussy ou Ravel, qui sont davantage joués. Je trouve cela tout à fait dommage. »
En effet, ses œuvres « très longues, très architecturées » n’étaient pas les plus en vogue en son temps, mais c’est à cette « folie des grandeurs » que le pianiste veut redonner ses lettres de noblesse.
Tanguy de Williencourt se caractérise par une pratique de la musique multi-facette et éclectique, tout comme le compositeur qu’il met en lumière : « Il y a l’influence de Bach, de Beethoven, de Wagner aussi d’une certaine manière. Et, en même temps, Franck a créé son propre univers sonore, ses propres harmonies, ses propres mélodies. Cela en fait à la fois une synthèse de l’héritage classique et romantique, mais également une ouverture sur l’avenir. »
Ces œuvres sont à découvrir dans cet album paru chez le label Mirare.
Si Tanguy de Williencourt est passionné par la musique, ce n’est pas son seul centre d’intérêt : « J’adore la course à pied, depuis très longtemps. J’adore aussi la randonnée, même les ascensions… Je suis allé en haut du Kilimandjaro notamment, en Bolivie aussi pour des 6000 mètres. J’ai besoin d’évasion, et cela inspire mon jeu pianistique évidemment. »
Un jeu pianistique au profit des compositions de César Franck, un nom qui ne vous dit peut-être rien, mais que le musicien de 32 ans veut remettre à l’honneur : « César Franck est un compositeur qui a été un peu éclipsé par ses contemporains, comme Debussy ou Ravel, qui sont davantage joués. Je trouve cela tout à fait dommage. »
En effet, ses œuvres « très longues, très architecturées » n’étaient pas les plus en vogue en son temps, mais c’est à cette « folie des grandeurs » que le pianiste veut redonner ses lettres de noblesse.
Tanguy de Williencourt se caractérise par une pratique de la musique multi-facette et éclectique, tout comme le compositeur qu’il met en lumière : « Il y a l’influence de Bach, de Beethoven, de Wagner aussi d’une certaine manière. Et, en même temps, Franck a créé son propre univers sonore, ses propres harmonies, ses propres mélodies. Cela en fait à la fois une synthèse de l’héritage classique et romantique, mais également une ouverture sur l’avenir. »
Ces œuvres sont à découvrir dans cet album paru chez le label Mirare.
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