Gabi Hartmann dévoile ‘‘La femme aux yeux de sel’’, un voyage musical
date 09/05/2025 - 10:42 | micro_reportage Charlotte Latour
La chanteuse sort un album qui est aussi un conte musical entre rumba, soul, chanson, et rythmes africains. Il retrace le parcours initiatique de Salinda, héroïne aux larmes de sel.
© Mickael Hemy
Gabi Hartmann dévoile ''La femme a…
Gabi Hartmann dévoile ''La femme aux yeux de sel'', un voyage musical
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Gabi Hartmann, chanteuse, compositrice et guitariste de 34 ans, revient avec un deuxième album. Elle qui a fait les premières parties de M, Melody Gardot, Ayo et Jamie Cullum, propose un conte musical imaginé par ses soins. Un projet singulier qui fait voyager entre autres entre rumba, soul, tango, rythmes brésiliens et guinéens. ‘‘La Femme aux yeux de sel’’ est interprété en français, anglais, espagnol et portugais. Il raconte l’histoire de Salinda, une jeune fille qui pleure des larmes de sel et risque de perdre la vue, à moins que ses voyages ne l'aident à guérir...
Gabi Hartmann explique qui est cette Salinda : « C'est un peu moi, c’est peut-être aussi un peu la femme, parce que les larmes sont souvent associées à la féminité, même si on essaie d’en sortir. Ça peut être aussi une petite fille qui grandit. Ça peut être plein de figures finalement, qui m’auraient inspirées ou que j’ai peut-être été dans une autre vie, je sais pas ! »
L’album se structure en trois parties, comme l'explique l'artiste : « Il commence avec des choses plutôt joyeuses, plutôt innocentes, des chansons up tempo. Et puis après, on rentre dans l’histoire de cette héroïne par différents moments de sa vie. La deuxième partie, c’est plutôt la mélancolie, la désillusion. Et puis dans la troisième partie, Salinda ressort grandie de ces épreuves et l'atmosphère est plus méditative. »
Ce récit sonore est aussi un tour du monde personnel. « On y trouve tout ce que j’aime. À chaque chanson, c’est un peu comme si on allumait une radio dans un pays différent. J’ai beaucoup voyagé et j’ai toujours aimé plonger dans des cultures différentes. Cela dit, j’essaie tout de même de trouver une cohérence dans mon son, dans mes arrangements. Mais c’est vrai que les styles varient beaucoup », reconnait-elle.
Gabi Hartmann sera en concert à Chantilly le 6 juillet, au festival de Saint-Paul-de-Vence le 21 juillet, ou encore au Trianon à Paris le 13 octobre.
Gabi Hartmann explique qui est cette Salinda : « C'est un peu moi, c’est peut-être aussi un peu la femme, parce que les larmes sont souvent associées à la féminité, même si on essaie d’en sortir. Ça peut être aussi une petite fille qui grandit. Ça peut être plein de figures finalement, qui m’auraient inspirées ou que j’ai peut-être été dans une autre vie, je sais pas ! »
L’album se structure en trois parties, comme l'explique l'artiste : « Il commence avec des choses plutôt joyeuses, plutôt innocentes, des chansons up tempo. Et puis après, on rentre dans l’histoire de cette héroïne par différents moments de sa vie. La deuxième partie, c’est plutôt la mélancolie, la désillusion. Et puis dans la troisième partie, Salinda ressort grandie de ces épreuves et l'atmosphère est plus méditative. »
Ce récit sonore est aussi un tour du monde personnel. « On y trouve tout ce que j’aime. À chaque chanson, c’est un peu comme si on allumait une radio dans un pays différent. J’ai beaucoup voyagé et j’ai toujours aimé plonger dans des cultures différentes. Cela dit, j’essaie tout de même de trouver une cohérence dans mon son, dans mes arrangements. Mais c’est vrai que les styles varient beaucoup », reconnait-elle.
Gabi Hartmann sera en concert à Chantilly le 6 juillet, au festival de Saint-Paul-de-Vence le 21 juillet, ou encore au Trianon à Paris le 13 octobre.
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