L'exposition Nice, reine des fleurs
date 12/09/2022 - 14:41 | micro_reportage Nadine Mistre
L'exposition « Nice, reine des fleurs », présentée au Musée Masséna, met en évidence la place des fleurs dans l'architecture de la ville, mais aussi dans l'image de Nice à travers le monde. La production florale locale est également évoquée, sans oublier les célèbres batailles de fleurs qui deviendront l’une des signatures du Carnaval sur la célèbre Promenade des Anglais.
L'exposition Nice, reine des fleurs
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Rendez-vous dans le centre-ville de Nice, pour une ravissante exposition avec près de 250 œuvres, qui reflètent l’importance des fleurs dans la cité.
« Le point de départ est un air bien connu des Niçois, ‘‘Nissa regina de li flou’’, Nice reine des fleurs » explique Jean-Pierre Barberro, directeur du Musée Massena. « Pourquoi lorsque l'on regarde les affiches on a la femme, les fleurs, la baie des Anges ? Parce que Nice est un grand jardin. L'ensemble est lumineux, c'est le reflet de l'art de construire et de vivre à Nice. La fleur est prise en compte par tout le monde quelque soit l'architecture, on présente la tapisserie, les peintures, la décoration avec des vases, des fauteuils, mais aussi la mode. On pense aussi au carnaval, c'est exceptionnel, c'est quelque chose qui rend heureux, sans oublier les batailles de fleurs à travers des photos qui montrent par exemple le M.I.N en 1965, le plus grand marché de fleurs du sud de la France, mais aussi ces poupées régionales, jugées kitsch mais qui sont nos racines, notre histoire, c'est quelque chose de fort ! » Une exposition à découvrir jusqu'au 9 octobre.
« Le point de départ est un air bien connu des Niçois, ‘‘Nissa regina de li flou’’, Nice reine des fleurs » explique Jean-Pierre Barberro, directeur du Musée Massena. « Pourquoi lorsque l'on regarde les affiches on a la femme, les fleurs, la baie des Anges ? Parce que Nice est un grand jardin. L'ensemble est lumineux, c'est le reflet de l'art de construire et de vivre à Nice. La fleur est prise en compte par tout le monde quelque soit l'architecture, on présente la tapisserie, les peintures, la décoration avec des vases, des fauteuils, mais aussi la mode. On pense aussi au carnaval, c'est exceptionnel, c'est quelque chose qui rend heureux, sans oublier les batailles de fleurs à travers des photos qui montrent par exemple le M.I.N en 1965, le plus grand marché de fleurs du sud de la France, mais aussi ces poupées régionales, jugées kitsch mais qui sont nos racines, notre histoire, c'est quelque chose de fort ! » Une exposition à découvrir jusqu'au 9 octobre.
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