La section « accueil chirurgical » de la Croix Rouge Monégasque
date 10/05/2019 - 10:04 | micro_reportage Stéphanie Dionnet
Notre rendez-vous citoyen et positif met aujourd'hui en avant l'action de la Croix Rouge Monégasque. Sa section « accueil chirurgical » organise la venue d'enfants dont le pronostic vital est engagé, ils sont opérés à Monaco et hébergés chez des bénévoles.
La section ‘‘accueil chirurgical’’…
La section ‘‘accueil chirurgical’’ de la Croix Rouge Monégasque
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Stéphanie Dionnet a rencontré une femme généreuse et dévouée, Joyce Pouilly qui est l’une des treize familles « accueil chirurgical » de la Croix Rouge Monégasque. Une fois par an environ, elle prend bénévolement en charge un enfant souffrant d’une pathologie grave. Elle reste à ses côtés avant, pendant l'opération et jusqu'à la fin de sa convalescence.
Joyce Pouilly : « On accueille les enfants à l’aéroport, ils viennent avec une association qui s’appelle Aviation Sans Frontière, ils nous les mettent dans les bras et voilà. Dans le regard tout est parti, pour deux mois de vie ensemble. Ce sont des enfants qui ont été détectés cardiaques dans leur pays, dans les dispensaires et qui ont de fortes pathologies qui ne peuvent pas être opérées dans leur pays d’origine. Dès qu’il pose le pied sur le sol français, nous sommes sa référence et nous avons l’autorité parentale. On l’amène chez nous et je mets alors ma vie entre parenthèses. »
Écoutez l’entretien de Stéphanie Dionnet.
Joyce Pouilly : « On accueille les enfants à l’aéroport, ils viennent avec une association qui s’appelle Aviation Sans Frontière, ils nous les mettent dans les bras et voilà. Dans le regard tout est parti, pour deux mois de vie ensemble. Ce sont des enfants qui ont été détectés cardiaques dans leur pays, dans les dispensaires et qui ont de fortes pathologies qui ne peuvent pas être opérées dans leur pays d’origine. Dès qu’il pose le pied sur le sol français, nous sommes sa référence et nous avons l’autorité parentale. On l’amène chez nous et je mets alors ma vie entre parenthèses. »
Écoutez l’entretien de Stéphanie Dionnet.
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