Le chant du violon
date 17/03/2023 - 11:09 | micro_reportage Charlotte Latour
Il a grandi à quelques pas de l'Opera Bastille, à Paris. Luka Faulisi fait son entrée sur la scène internationale en publiant son premier disque « Aria », paru chez Sony Classical.

Le chant du violon
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Des concerts, qu’il donne désormais avec les plus grands orchestres du monde, et un premier disque : à seulement 21 ans, et avec déjà une belle carrière, Luka Faulisi signe ‘‘Aria’’. Enregistré avec le pianiste Itamar Golan, cet album regroupe des arrangements pour violon et piano d’airs d’opéra. « Je voulais bien représenter ce qu'est l'opéra dans son côté glamour, éclatant et en même temps très intime. Je voulais que ce disque parle au grand public, que ça ne soit pas quelque chose de trop difficile à écouter », explique le jeune virtuose qui a commencé le violon à l’âge de trois ans.
« Ma mère avait ce désir que je sois violoniste. Elle m'a laissé le choix mais elle m'a fait grandir dans un environnement musical fait de récitals de concerto pour violon et ça me fascinait. On habitait à deux pas de l'Opéra Bastille et ma sœur était fan de la soprano Anna Netrebko. Elle lui amenait souvent des fleurs et des lettres à l'entrée des artistes. Mon père, lui, avait connu le ténor italien Luciano Pavarotti. Pour un premier album, j'ai trouvé que l'opéra était une belle présentation de moi même » ajoute le violoniste qui sera en concert le 28 mars à la salle Colonne, à Paris.
Baigné de musique depuis le plus jeune âge, l'artiste revisite sur son album de grands airs d'opéra comme la Traviata, Faust ou Carmen. « On sait que nous n'atteindrons pas la beauté de la voix humaine mais on peut quand même gagner le cœur du public avec cet opéra que je fais à ma manière. Je n'ai pas une très belle voix mais je joue du violon », sourit Luka Faulisi.
« Ma mère avait ce désir que je sois violoniste. Elle m'a laissé le choix mais elle m'a fait grandir dans un environnement musical fait de récitals de concerto pour violon et ça me fascinait. On habitait à deux pas de l'Opéra Bastille et ma sœur était fan de la soprano Anna Netrebko. Elle lui amenait souvent des fleurs et des lettres à l'entrée des artistes. Mon père, lui, avait connu le ténor italien Luciano Pavarotti. Pour un premier album, j'ai trouvé que l'opéra était une belle présentation de moi même » ajoute le violoniste qui sera en concert le 28 mars à la salle Colonne, à Paris.
Baigné de musique depuis le plus jeune âge, l'artiste revisite sur son album de grands airs d'opéra comme la Traviata, Faust ou Carmen. « On sait que nous n'atteindrons pas la beauté de la voix humaine mais on peut quand même gagner le cœur du public avec cet opéra que je fais à ma manière. Je n'ai pas une très belle voix mais je joue du violon », sourit Luka Faulisi.
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