Le Musée International des Arts Modestes à Sète
date 24/03/2024 - 12:16 | micro_reportage Hélène Dali
C'est un musée né de la rencontre du peintre Hervé Di Rosa et du collectionneur Bernard Belluc. Passionnés ou simples curieux, visitez le MIAM où les arts modestes sont à l'honneur. En plus des expositions permanentes, ce musée présente des objets du quotidien, mis en scène dans des vitrines.
© Pierre Schwartz
Le Musée International des Arts Mo…
Le Musée International des Arts Modestes à Sète
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Le MIAM, le Musée International des Arts Modestes, est un véritable laboratoire ouvert aux artistes de toutes les générations et de tous les horizons. En plus des expositions temporaires, on y retrouve des objets du quotidien qui deviennent des œuvres d'art dans une collection originale. Ce sont les vitrines de Belluc, que nous présente Jolan Touzet, chargé de communication au musée :
« Bernard Belluc, c'est une personne qui collectionne des objets de la vie de tous les jours depuis très longtemps. Il n'aime pas qu'on l'appelle collectionneur, mais plutôt amasseur, parce que c'est quelqu'un qui amasse les objets. On va retrouver des objets de la vie de tous les jours, des emballages de bonbons, des jeux, des jeux à gratter, des choses qu'on voit tous les jours. Quand les personnes vont découvrir ces vitrines, elles vont les regarder avec un brin de nostalgie. »
Et ces vitrines remplies de babioles et d'objets qu'on a tous eu entre les mains, plaisent beaucoup aux visiteurs : « Moi, je pense à l'enfance, et mes petits-enfants, je suis sûre qu'ils adoreraient venir voir ça. Par exemple, ici, vous retrouvez tous vos jouets d'enfants que vous avez oubliés. On se régale aussi de montrer aux enfants avec quoi on jouait. Les images Panini, les canettes comme elles étaient à l'époque, les cadeaux 'Bonux' que les enfants de maintenant ne connaissent pas ».
Quant aux expositions temporaires, elles permettent de découvrir de grands noms de l'art, mais aussi des artistes émergents. « Si on devait résumer le MIAM, alors je dirais que c'est un endroit où on expérimente. On présente énormément d'artistes. On va vraiment essayer de toucher tous les styles, les courants d'art. Ce n'est jamais la même présentation au niveau des expositions. On fait appel à différents scénographes qui viennent complètement retravailler les espaces au sein du musée, et la scénographie va changer selon les expositions », ajoute Jolan Touzet.
« Bernard Belluc, c'est une personne qui collectionne des objets de la vie de tous les jours depuis très longtemps. Il n'aime pas qu'on l'appelle collectionneur, mais plutôt amasseur, parce que c'est quelqu'un qui amasse les objets. On va retrouver des objets de la vie de tous les jours, des emballages de bonbons, des jeux, des jeux à gratter, des choses qu'on voit tous les jours. Quand les personnes vont découvrir ces vitrines, elles vont les regarder avec un brin de nostalgie. »
Et ces vitrines remplies de babioles et d'objets qu'on a tous eu entre les mains, plaisent beaucoup aux visiteurs : « Moi, je pense à l'enfance, et mes petits-enfants, je suis sûre qu'ils adoreraient venir voir ça. Par exemple, ici, vous retrouvez tous vos jouets d'enfants que vous avez oubliés. On se régale aussi de montrer aux enfants avec quoi on jouait. Les images Panini, les canettes comme elles étaient à l'époque, les cadeaux 'Bonux' que les enfants de maintenant ne connaissent pas ».
Quant aux expositions temporaires, elles permettent de découvrir de grands noms de l'art, mais aussi des artistes émergents. « Si on devait résumer le MIAM, alors je dirais que c'est un endroit où on expérimente. On présente énormément d'artistes. On va vraiment essayer de toucher tous les styles, les courants d'art. Ce n'est jamais la même présentation au niveau des expositions. On fait appel à différents scénographes qui viennent complètement retravailler les espaces au sein du musée, et la scénographie va changer selon les expositions », ajoute Jolan Touzet.
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