Les nouveaux métiers de la décarbonation de la route
date 17/01/2025 - 15:07 | micro_reportage Virginie Decorte
Pour faire face au développement du véhicule électrique, de nouveaux métiers émergent, ainsi que des nouvelles formations et habilitations inhérentes à ces métiers.
Les nouveaux métiers de la décarbo…
Les nouveaux métiers de la décarbonation de la route
play
0:00
0:00
volume-high
La décarbonation du transport routier constitue un enjeu majeur de la décennie. Parmi les solutions mises en place, il y a le développement des véhicules hybrides et électriques, ainsi que des nouveaux métiers qui en découlent.
C'est ce que nous explique Frédéric Mlynarczyk, formateur en « habilitation » des véhicules électriques au lycée Paul Héraud de Gap : « On forme des jeunes au niveau de la maintenance des véhicules, Bac pro, CAP et Bac pro maintenance. Cela débouche sur ce qu'on appelle une habilitation électrique. »
La prévention des risques électriques est un axe majeur de ces formations, qui requièrent des procédures constructeurs précises afin que les futurs techniciens puissent travailler dans de bonnes conditions et surtout en toute sécurité.
Frédéric Mlynarczyk précise : « Il s'agit de ne pas se mettre en danger quand ils interviennent sur les véhicules. Alors c'est vrai que ça touche l'automobile, ça touche aussi les véhicules industriels, les motos aussi, en électrique ou en hybride. Évidemment, il y a plusieurs niveaux d'habilitation en fonction des travaux qu'on fait sur les véhicules. »
Et ces formations ne concernent pas simplement que le mécanicien, ajoute Frédéric Mlynarczyk : « ça concerne les constructeurs quand ils développent les voitures, ça concerne tout ce qui est maintenance mais aussi, après, la déconstruction des voitures. C'est-à-dire quand la voiture va à la casse, on ne peut pas la mettre comme ça à la casse. Il faut enlever la batterie de haute tension, ce qu'on appelle la batterie de traction, donc il y a des procédures à respecter. Là encore, ces formations »habilitations électriques« vont se retrouver aussi chez ce qu'on appelle les ‘‘déconstructeurs’’, les casseurs, pour que ces batteries soient démontées dans de bonnes conditions et recyclées bien sûr. »
C'est ce que nous explique Frédéric Mlynarczyk, formateur en « habilitation » des véhicules électriques au lycée Paul Héraud de Gap : « On forme des jeunes au niveau de la maintenance des véhicules, Bac pro, CAP et Bac pro maintenance. Cela débouche sur ce qu'on appelle une habilitation électrique. »
La prévention des risques électriques est un axe majeur de ces formations, qui requièrent des procédures constructeurs précises afin que les futurs techniciens puissent travailler dans de bonnes conditions et surtout en toute sécurité.
Frédéric Mlynarczyk précise : « Il s'agit de ne pas se mettre en danger quand ils interviennent sur les véhicules. Alors c'est vrai que ça touche l'automobile, ça touche aussi les véhicules industriels, les motos aussi, en électrique ou en hybride. Évidemment, il y a plusieurs niveaux d'habilitation en fonction des travaux qu'on fait sur les véhicules. »
Et ces formations ne concernent pas simplement que le mécanicien, ajoute Frédéric Mlynarczyk : « ça concerne les constructeurs quand ils développent les voitures, ça concerne tout ce qui est maintenance mais aussi, après, la déconstruction des voitures. C'est-à-dire quand la voiture va à la casse, on ne peut pas la mettre comme ça à la casse. Il faut enlever la batterie de haute tension, ce qu'on appelle la batterie de traction, donc il y a des procédures à respecter. Là encore, ces formations »habilitations électriques« vont se retrouver aussi chez ce qu'on appelle les ‘‘déconstructeurs’’, les casseurs, pour que ces batteries soient démontées dans de bonnes conditions et recyclées bien sûr. »
A voir aussi