Mozart au cœur avec Raphaël Sévère
date 03/10/2022 - 12:31 | micro_reportage Charlotte Latour
Ce sont quelques notes de clarinette que nous vous invitons à écouter : celles écrites par Mozart à la fin du 18e siècle. Elles sont interprétées avec talent par le clarinettiste Raphaël Sévère. Il consacre un album à deux morceaux de ce compositeur qu'il joue depuis sa jeunesse.

© Sylvain Picart
Mozart au cœur avec Raphaël Sévère
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Le clarinettiste Raphaël Sévère sort un nouvel album. Au programme, deux morceaux incontournables pour tout amateur du célèbre instrument à vent : le concerto et le quintet en la majeur de Mozart. C'est d'ailleurs ce même concerto que le presque trentenaire a joué lors de son premier concert à l'âge de 11 ans : « C'est une musique, en fait, fondamentalement saine. Elle fait du bien. Je trouve que lorsqu'on écoute Mozart, on se sent bien, ça nous fait presque du bien physiquement... et, forcément, mentalement aussi. »
Raphaël Sévère n'hésite pas à faire la comparaison du rythme des mélodies avec celles d'un cœur humain : « C'est proche de 60 à la blanche, environ, dans à peu près tous les allegro de Mozart. Le cœur se cale très facilement sur la musique. »
Cet album est aussi l'occasion de raconter l'histoire de la clarinette et son poids dans celle de la musique classique. Le clarinettiste ne tarie pas d'explications sur le sujet : « Mozart, grâce à son ami Anton Stadler, clarinettiste, dédia trois œuvres. À partir de ce moment là, les compositeurs se sont dit que l'on peut confier à la clarinette un concerto. »
Cette étape majeure, initiée par Mozart, a donné par la suite ses lettres de noblesses à cet instrument que vous pouvez écouter sur le nouvel album de Raphaël Sévère paru chez le label Mirare.
Raphaël Sévère n'hésite pas à faire la comparaison du rythme des mélodies avec celles d'un cœur humain : « C'est proche de 60 à la blanche, environ, dans à peu près tous les allegro de Mozart. Le cœur se cale très facilement sur la musique. »
Cet album est aussi l'occasion de raconter l'histoire de la clarinette et son poids dans celle de la musique classique. Le clarinettiste ne tarie pas d'explications sur le sujet : « Mozart, grâce à son ami Anton Stadler, clarinettiste, dédia trois œuvres. À partir de ce moment là, les compositeurs se sont dit que l'on peut confier à la clarinette un concerto. »
Cette étape majeure, initiée par Mozart, a donné par la suite ses lettres de noblesses à cet instrument que vous pouvez écouter sur le nouvel album de Raphaël Sévère paru chez le label Mirare.