Nicolas Folmer respire le jazz
date 27/03/2022 - 06:36 | micro_reportage Charlotte Latour
Le trompettiste de jazz, qui a, entre autres, accompagné Aznavour, Nougaro mais aussi Diana Krall, Lucky Peterson ou Dee Dee Bridgewater, nous fait découvrir son monde : un monde épris de liberté à travers « Breathe », son dernier disque imaginé en plein confinement.

© Marc Ribes
Nicolas Folmer respire le jazz
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C’est dans un véritable univers musical que nous entraîne le trompettiste de jazz Nicolas Folmer sur son dernier album, intitulé « Breathe ». Ce disque, imaginé au début de la crise sanitaire, est une ode à la liberté. Une liberté qu’il associe à l’immensité de la mer et que l’on retrouve imagée sur la pochette de l’album où l’on découvre l’artiste immergé au fond de l’eau : « La mer nous fait prendre conscience de notre intérêt général humain. Pendant le confinement ça sautait aux yeux ! Moi, j’habite à Toulon et pendant la promenade journalière à laquelle on avait droit, la contempler me le rappelait tous les jours. »
Nicolas Folmer raconte qu’il a créé cet album en imaginant « ce que les gens auraient envie d’entendre » après ces périodes de confinement, au moment de leur liberté retrouvée. Le trompettiste confie qu’à l’inverse de la plupart des compositeurs de jazz classique, il n’a pas tout misé sur l’enregistrement en studio avec ses musiciens. « Il y a une grosse post-production, une production du son qui est vraiment importante », précise-t-il.
Sur « Breathe », le trompettiste affirme avoir fait appel à de nombreuses influences musicales, y compris actuelles comme « la trap », pour raconter ses histoires sans mots : « On fait de la musique instrumentale, il n’y a pas de paroles et donc on a peu d’éléments, à part l’émotion que va susciter la musique pour faire passer ce qui nous traverse comme pensées. »
Nicolas Folmer raconte qu’il a créé cet album en imaginant « ce que les gens auraient envie d’entendre » après ces périodes de confinement, au moment de leur liberté retrouvée. Le trompettiste confie qu’à l’inverse de la plupart des compositeurs de jazz classique, il n’a pas tout misé sur l’enregistrement en studio avec ses musiciens. « Il y a une grosse post-production, une production du son qui est vraiment importante », précise-t-il.
Sur « Breathe », le trompettiste affirme avoir fait appel à de nombreuses influences musicales, y compris actuelles comme « la trap », pour raconter ses histoires sans mots : « On fait de la musique instrumentale, il n’y a pas de paroles et donc on a peu d’éléments, à part l’émotion que va susciter la musique pour faire passer ce qui nous traverse comme pensées. »
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