Circuler sur les aires d'autoroutes
date 25/09/2023 - 15:44 | micro_reportage Marie Marquet
Lors de votre pause sur une aire d'autoroute, dès la bretelle d'accès et jusqu'aux bâtiments, en passant par les zones de stationnement, les véhicules sont orientés selon un cheminement précis. Comment est-il défini ?

© VINCI Autoroutes
Circuler sur les aires d'autoroutes
Circuler sur les aires d'autoroutes
play
0:00
0:00
volume-high
Quelle que soit la raison de votre arrêt sur une aire (repos, sanitaire, carburant, restauration), le cheminement des véhicules est pensé en priorité pour votre sécurité, à la fois pour les véhicules et pour les piétons, comme nous l'explique Olivier Granier de VINCI Autoroutes : « Ce cheminement est pensé dès l'arrivée des clients sur l'aire, avec une voie de décélération qui doit être la plus longue possible, une séparation des flux entre les poids lourds et les véhicules légers, et, dès lors que le véhicule est stationné, un parcours client est prévu, de sa place de stationnement jusqu'au bâtiment. Ce sont les fondamentaux. »
La signalétique au sol ou sur des panneaux est conçue pour être visible. Elle est constamment repensée pour s'adapter à l'évolution des pratiques de consommation : « Un élément très important, aujourd'hui et pour l'avenir, c'est l'arrivée de nouvelles mobilités, notamment la mobilité électrique. De nouveaux véhicules doivent très clairement voir où ils doivent se stationner pour se recharger. Et peut-être que demain, avec l'arrivée de nouvelles énergies, il y aura encore à faire évoluer nos cheminements sur une aire », ajoute Olivier Granier.
La signalétique au sol ou sur des panneaux est conçue pour être visible. Elle est constamment repensée pour s'adapter à l'évolution des pratiques de consommation : « Un élément très important, aujourd'hui et pour l'avenir, c'est l'arrivée de nouvelles mobilités, notamment la mobilité électrique. De nouveaux véhicules doivent très clairement voir où ils doivent se stationner pour se recharger. Et peut-être que demain, avec l'arrivée de nouvelles énergies, il y aura encore à faire évoluer nos cheminements sur une aire », ajoute Olivier Granier.
A voir aussi