Lyon : les taxis prévoient des barrages filtrants autour des gares et hôpitaux ce lundi
date 16/05/2025 - 14:22 | micro_reportage La rédaction
Les taxis prévoient des barrages filtrants lundi 19 mai autour des hôpitaux, gares et aéroports. À Lyon, les sites stratégiques comme la Part-Dieu ou Saint-Exupéry seront ciblés. La mobilisation dénonce une nouvelle convention tarifaire imposée par la CNAM.

Manifestation de taxis en zone urbaine - © Adobe Stock
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Lyon : les taxis prévoient des barrages filtrants autour des gares et hôpitaux ce lundi
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Lundi 19 mai 2025, à Lyon, les taxis manifesteront dès 6 heures. Des barrages filtrants sont annoncés aux niveau de sites stratégiques. Parmi eux : l’hôpital Edouard-Herriot, l'hôpital Lyon-Sud, la gare Part-Dieu et l’aéroport Saint-Exupéry.
Pas d'inquiétudes quant à l'accès aux soins, les syndicats laisseront passer le personnel soignants mais pas les VTC ou taxis avec un passager à bord. À l’aéroport, deux points de blocage sont planifiés : l’un vers les loueurs de voitures, l’autre au rond-point principal menant aux terminaux. Les taxis ne pourront ni déposer ni récupérer de clients. Cette fois aucune opération escargot n'est prévue.
Le mot d’ordre vient des quatre principales fédérations du secteur (FNAT, FNDT, FNTI et UNT) réunies dans un front commun inédit. Objectif : dénoncer la nouvelle convention de la Caisse nationale d’assurance maladie, qui fixe à 0,98 euro le kilomètre transporté, contre 1,40 précédemment.
Outre les questions tarifaires, la profession exige un encadrement plus strict de la concurrence, notamment la fin des maraudes illégales des VTC, qu’elle estime en forte augmentation. Les syndicats espèrent que les taxis se joindront au mouvement plutôt que d’être bloqués.
Pas d'inquiétudes quant à l'accès aux soins, les syndicats laisseront passer le personnel soignants mais pas les VTC ou taxis avec un passager à bord. À l’aéroport, deux points de blocage sont planifiés : l’un vers les loueurs de voitures, l’autre au rond-point principal menant aux terminaux. Les taxis ne pourront ni déposer ni récupérer de clients. Cette fois aucune opération escargot n'est prévue.
Le mot d’ordre vient des quatre principales fédérations du secteur (FNAT, FNDT, FNTI et UNT) réunies dans un front commun inédit. Objectif : dénoncer la nouvelle convention de la Caisse nationale d’assurance maladie, qui fixe à 0,98 euro le kilomètre transporté, contre 1,40 précédemment.
Outre les questions tarifaires, la profession exige un encadrement plus strict de la concurrence, notamment la fin des maraudes illégales des VTC, qu’elle estime en forte augmentation. Les syndicats espèrent que les taxis se joindront au mouvement plutôt que d’être bloqués.