Nouvelle série 4 : avec ce coupé, BMW fait de la résistance

C'était la grande mode dans les années 80 et 90, les coupés et autres cabriolets étaient
« tendance », mais ces « véhicules plaisir » se font de plus en plus rares chez les constructeurs, sauf peut-être de l'autre côté du Rhin...

Le Magauto ne cède pas aux tendances et aux modes, et s'intéresse cette semaine à un genre presque tombé en désuétude chez les constructeurs : les coupés. À l'instar des cabriolets, ces véhicules sont de moins en moins présents sur nos routes, pour de simples raisons de rentabilité, nous explique Gaël Brianceau de L'Automobile Magazine : « Les coupés et plus généralement les voitures-plaisir, sont un genre qui a tendance à disparaître. Ce sont des voitures qui ont eu leur heure de gloire et qui malheureusement intéressent moins les clients. Les constructeurs n'étant pas des philanthropes, quand les voitures se vendent moins, ils regardent l'équation économique et quand ce n'est plus rentable, ils arrêtent ».

Contrairement à la France, les constructeurs allemands continuent de sortir régulièrement des coupés, même si eux-aussi « réduisent la voilure. Chez Audi, le TT va disparaître et chez Mercedes, on a déjà annoncé que la gamme de coupés allait être réduite ».
Il n'y a finalement que chez BMW que l'on fait de la résistance, avec la série 4 cabriolet prévue l'an prochain, et la sortie imminente de la série 4 coupé, mais qui n'est pas à la portée de toutes les bourses : « Les voitures-plaisir sont rarement des voitures premier prix. En l’occurrence, la 420i, le modèle d'entrée de gamme que nous avons essayé est déjà à 50 000 € ».

Le test de la nouvelle BMW série 4 coupé est à découvrir dans le numéro en kiosque de L'Automobile Magazine.