Voyager en Europe en voiture électrique
date 03/06/2023 - 09:45 | micro_reportage Perrine Martin
Notre partenaire a tenté de relever le défi de traverser sans essence, le vieux continent du nord au sud et nous dévoile le verdict.
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Voyager en Europe en voiture électrique
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Pour se faire une idée précise de l’autonomie des véhicules électriques, qui diffère évidemment de celle annoncée par les constructeurs, L’Automobile Magazine se lance régulièrement dans des tests grandeur nature, dans les conditions du réel. Après un trajet entre Paris et les stations alpines, il y a quelques mois, cette fois, la rédaction a choisi pour son essai un road-trip de 4300 kilomètres entre Oslo en Norvège et Madrid en Espagne.
Une traversée de l’Europe à bord d’une Renault Megane électrique, que Gaël Brianceau a bouclée en six jours. Le journaliste du mensuel raconte que c’est presque un jour de plus qu’en voiture thermique, le temps de charge cumulé ayant atteint vingt heures.
Au total, précise-t-il, « on a fait 37 arrêts, mais seulement 28 se sont transformés en recharge ». En cause, l’incertitude de parvenir à se ravitailler, même en ayant pris ses précautions avant de prendre la route.
Notre confrère explique, à l’issue de ce périple, qu’il y a plus de bornes en Norvège, en Suède et au Danemark que dans les pays du sud de l’Europe. Mais il nuance en affirmant que les bornes étant, à l’inverse, plus utilisées dans les pays du Nord, le temps d’attente y est parfois plus long.
Bilan : « il reste du travail pour que la voiture électrique soit aussi simple à utiliser que la voiture thermique », d’après Gaël Brianceau. Ce dernier affirme, par exemple, que rares étaient les hôtels qui étaient équipés d’une borne, ce qui ne leur permettait pas de repartir à 100% le matin.
Une traversée de l’Europe à bord d’une Renault Megane électrique, que Gaël Brianceau a bouclée en six jours. Le journaliste du mensuel raconte que c’est presque un jour de plus qu’en voiture thermique, le temps de charge cumulé ayant atteint vingt heures.
Au total, précise-t-il, « on a fait 37 arrêts, mais seulement 28 se sont transformés en recharge ». En cause, l’incertitude de parvenir à se ravitailler, même en ayant pris ses précautions avant de prendre la route.
Notre confrère explique, à l’issue de ce périple, qu’il y a plus de bornes en Norvège, en Suède et au Danemark que dans les pays du sud de l’Europe. Mais il nuance en affirmant que les bornes étant, à l’inverse, plus utilisées dans les pays du Nord, le temps d’attente y est parfois plus long.
Bilan : « il reste du travail pour que la voiture électrique soit aussi simple à utiliser que la voiture thermique », d’après Gaël Brianceau. Ce dernier affirme, par exemple, que rares étaient les hôtels qui étaient équipés d’une borne, ce qui ne leur permettait pas de repartir à 100% le matin.
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