Balade au Conservatoire national de la tomate
date 17/08/2023 - 10:25 | micro_reportage Ivan Mouton
C'est un château extraordinaire à deux pas de Tours. Le parc du château de la Bourdaisière abrite le Conservatoire national de la tomate. Un lieu qui ne vous laissera pas indifférent vis-à-vis de ce fruit qui réserve beaucoup de surprises.
© Borja Merino
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Balade au Conservatoire national de la tomate
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C'est dans un très bel écrin que vous allez pouvoir découvrir avec nous la diversité incroyable de la tomate. Car oui, la tomate a son conservatoire national. Cyrille Brayé-Lécureuil, directeur du château de la Bourdaisière, nous le décrit : « On a un très beau château d'origine renaissance qui a ensuite été aménagée avec des tours rondes. On a un mélange des architectures qui date maintenant plutôt des XVIIe et XVIIIe siècles. »
La balade commence dans le jardin potager du conservatoire, c'est le jardiner en chef des lieux, Nicolas Toutain qui accueille Ivan Mouton : « Ici, il y a à peu près 1500 plants de tomates qui représentent 700 variétés. On a beaucoup de formes de fruits différents. Par exemple, devant nous, on a la classique ‘‘noire de Crimée’’. On a aussi de la tomate ‘‘ananas’’ et de la ‘‘rose de Berne’’... C'est extrêmement varié. »
Déambuler dans ce potager est une expérience visuelle, mais aussi, et surtout, olfactive. Les plants de tomates dégagent une odeur bien caractéristique. « La particularité de la tomate, c'est que ce sont les feuilles qui sentent bon. Le fruit ne sent absolument rien. En voyant une tomate, on se dit qu'elle est belle, elle doit être bonne, mais on ne peut pas savoir », ajoute Nicolas Toutain.
Toute la production pédagogique de ce conservatoire peut être dégustée sur place. Il y a un ‘‘bar à tomates’’. Directement du jardin à la cuisine, les tomates sont confiées à un chef qui s'occupera de les préparer. Mais le jardinier en chef du château nous donne son astuce pour une salade réussie : « Ce qui est intéressant, c'est d'avoir plusieurs variétés. Rien que pour varier les couleurs et se faire plaisir avec les yeux. On va couper de grandes tranches et on va mettre beaucoup d'herbes : du basilic, du persil. Et un petit peu de fleur de sel avec un filet d'huile d'olive. Sur des bonnes tomates, c'est largement suffisant. »
Si vous avez maintenant l'eau à la bouche, rendez-vous sur le site du Conservatoire national de la tomate.
La balade commence dans le jardin potager du conservatoire, c'est le jardiner en chef des lieux, Nicolas Toutain qui accueille Ivan Mouton : « Ici, il y a à peu près 1500 plants de tomates qui représentent 700 variétés. On a beaucoup de formes de fruits différents. Par exemple, devant nous, on a la classique ‘‘noire de Crimée’’. On a aussi de la tomate ‘‘ananas’’ et de la ‘‘rose de Berne’’... C'est extrêmement varié. »
Déambuler dans ce potager est une expérience visuelle, mais aussi, et surtout, olfactive. Les plants de tomates dégagent une odeur bien caractéristique. « La particularité de la tomate, c'est que ce sont les feuilles qui sentent bon. Le fruit ne sent absolument rien. En voyant une tomate, on se dit qu'elle est belle, elle doit être bonne, mais on ne peut pas savoir », ajoute Nicolas Toutain.
Toute la production pédagogique de ce conservatoire peut être dégustée sur place. Il y a un ‘‘bar à tomates’’. Directement du jardin à la cuisine, les tomates sont confiées à un chef qui s'occupera de les préparer. Mais le jardinier en chef du château nous donne son astuce pour une salade réussie : « Ce qui est intéressant, c'est d'avoir plusieurs variétés. Rien que pour varier les couleurs et se faire plaisir avec les yeux. On va couper de grandes tranches et on va mettre beaucoup d'herbes : du basilic, du persil. Et un petit peu de fleur de sel avec un filet d'huile d'olive. Sur des bonnes tomates, c'est largement suffisant. »
Si vous avez maintenant l'eau à la bouche, rendez-vous sur le site du Conservatoire national de la tomate.
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