Calogero : un huitième album bien urbain
date 24/12/2020 - 03:04 | micro_reportage Chrystèle Mollon
20 ans après la sortie de son premier disque et 3 ans après le succès de Liberté Chérie, le chanteur-compositeur revient avec Centre-Ville.
© Laurent Humbert
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Calogero : un huitième album bien urbain
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Le nouvel album de Calogero vient de sortir. Un huitième album solo, composé de 12 chansons, que le musicien a concocté au printemps dernier, « confiné, comme tout le monde ». Une période durant laquelle Calogero a notamment sorti le titre On Fait Comme Si, dont les droits ont été reversés à la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France. Il raconte à ce sujet avoir eu « envie de partager avec les gens ».
À propos de partage, sur Centre-Ville comme sur ses précédents albums, Calogero a composé toutes les mélodies, mais les mots qu’il chante sont ceux de ses paroliers. Parmi eux, Benjamin Biolay signe les textes de deux titres, dont la chanson Centre-Ville qui a donné le titre de l'’album : « C’est une nouvelle collaboration, on n’avait jamais écrit de chanson ensemble et je lui ai envoyé la musique de Mauvais Perdant. Il a été très vite inspiré, j’ai eu le texte le lendemain et ensuite Centre-Ville est arrivé, on a une vraie complicité artistique, des points communs » se réjouit-il.
Concernant son rapport à la route et à l’automobile, lui qui a choisi d’afficher sur la pochette de ce nouvel album une superbe Cadillac de collection, confie « avoir une petite voiture électrique ». Un véhicule qu’il considère un peu comme son « bureau », où il « écoute (et réécoute) ses chansons ». Calogero poursuit : « J’aime rouler, ça me détend, je roule tranquille quoi ! »
La route pour Calogero, c’est aussi des souvenirs d’enfance, entre Grenoble et la Sicile et des milliers de kilomètres parcourus : « On partait en famille pour deux jours de voyage, dans la R18 de mon papa, il n’y avait pas de climatisation… depuis j’ai fait beaucoup de concerts, je pense que j’ai fait la France en long et en large […] en tour-bus, c’est génial, c’est comme une colonie ! »
Justement, ses concerts, sa tournée 2021, le chanteur-musicien espère qu’elle aura bien lieu et s’impatiente : « J’en ai très envie, j’ai à chaque fois envie de faire des choses différentes et de faire un beau spectacle. Tout le monde a envie de se retrouver, de retrouver la culture aussi, les théâtres et les cinémas… »
À propos de partage, sur Centre-Ville comme sur ses précédents albums, Calogero a composé toutes les mélodies, mais les mots qu’il chante sont ceux de ses paroliers. Parmi eux, Benjamin Biolay signe les textes de deux titres, dont la chanson Centre-Ville qui a donné le titre de l'’album : « C’est une nouvelle collaboration, on n’avait jamais écrit de chanson ensemble et je lui ai envoyé la musique de Mauvais Perdant. Il a été très vite inspiré, j’ai eu le texte le lendemain et ensuite Centre-Ville est arrivé, on a une vraie complicité artistique, des points communs » se réjouit-il.
Concernant son rapport à la route et à l’automobile, lui qui a choisi d’afficher sur la pochette de ce nouvel album une superbe Cadillac de collection, confie « avoir une petite voiture électrique ». Un véhicule qu’il considère un peu comme son « bureau », où il « écoute (et réécoute) ses chansons ». Calogero poursuit : « J’aime rouler, ça me détend, je roule tranquille quoi ! »
La route pour Calogero, c’est aussi des souvenirs d’enfance, entre Grenoble et la Sicile et des milliers de kilomètres parcourus : « On partait en famille pour deux jours de voyage, dans la R18 de mon papa, il n’y avait pas de climatisation… depuis j’ai fait beaucoup de concerts, je pense que j’ai fait la France en long et en large […] en tour-bus, c’est génial, c’est comme une colonie ! »
Justement, ses concerts, sa tournée 2021, le chanteur-musicien espère qu’elle aura bien lieu et s’impatiente : « J’en ai très envie, j’ai à chaque fois envie de faire des choses différentes et de faire un beau spectacle. Tout le monde a envie de se retrouver, de retrouver la culture aussi, les théâtres et les cinémas… »
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