Les secrets de la peinture blanche sur le ruban noir
date 11/04/2025 - 15:24 | micro_reportage Quentin Lachese
Plus qu'un simple trait sur le bitume, la peinture utilisée pour l'autoroute est un élément clé pour votre voyage. Composition et entretien du marquage au sol sont essentiels pour la sécurité et la lisibilité des voies. La peinture blanche cache aussi quelques secrets que l'on vous fait découvrir.

© VINCI Autoroutes
Les secrets de la peinture blanche…
Les secrets de la peinture blanche sur le ruban noir
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La peinture blanche sur la chaussée, appelée marquage au sol ou signalisation horizontale, joue un rôle fondamental dans la circulation. Justine Marty, de VINCI Autoroutes, rappelle son utilité principale : « Le premier objectif en fait de la peinture c'est de partager l'espace, ça sert à la délimitation des voies entre chaque couloir de circulation, ça sert aussi à exprimer le code de la route. »
Cette peinture répond, dit-elle, à des normes précises, notamment en matière environnementale : « Elle est réglementée. Dans un souci de respect de l'environnement, ce sont des peintures qui sont appliquées à base d'eau, c'est-à-dire que c'est des peintures qui sont sans solvant et qui sont à base d'émulsions acryliques. »
Ces peintures contiennent également un élément clé : « Ce sont ces billes de verre qui permettent au marquage d'être rétroréfléchissant, c'est-à-dire que de nuit, grâce au feu de croisement des véhicules, on va avoir un effet de renvoi de la lumière, et c'est ce qui permettra au marquage d'être visible sur la chaussée à tout point. »
L’entretien de cette signalisation horizontale est régulier, afin d’en garantir la lisibilité : « Il y a des mesures de rétro-réflexion qui sont effectuées grâce à l'Ecodyn, c'est un système qui va mesurer la rétro-réflexion des bandes, et en fonction d'un seuil qu'on détermine, on va programmer des campagnes de peinture qui permettront de renouveler les bandes et de repartir sur des bons états. »
Enfin, d’autres couleurs peuvent apparaître sur les chaussées. La peinture jaune signale les zones de travaux, tandis que le bleu est réservé aux emplacements de stationnement pour les personnes en situation de handicap sur les aires.
Cette peinture répond, dit-elle, à des normes précises, notamment en matière environnementale : « Elle est réglementée. Dans un souci de respect de l'environnement, ce sont des peintures qui sont appliquées à base d'eau, c'est-à-dire que c'est des peintures qui sont sans solvant et qui sont à base d'émulsions acryliques. »
Ces peintures contiennent également un élément clé : « Ce sont ces billes de verre qui permettent au marquage d'être rétroréfléchissant, c'est-à-dire que de nuit, grâce au feu de croisement des véhicules, on va avoir un effet de renvoi de la lumière, et c'est ce qui permettra au marquage d'être visible sur la chaussée à tout point. »
L’entretien de cette signalisation horizontale est régulier, afin d’en garantir la lisibilité : « Il y a des mesures de rétro-réflexion qui sont effectuées grâce à l'Ecodyn, c'est un système qui va mesurer la rétro-réflexion des bandes, et en fonction d'un seuil qu'on détermine, on va programmer des campagnes de peinture qui permettront de renouveler les bandes et de repartir sur des bons états. »
Enfin, d’autres couleurs peuvent apparaître sur les chaussées. La peinture jaune signale les zones de travaux, tandis que le bleu est réservé aux emplacements de stationnement pour les personnes en situation de handicap sur les aires.
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