Mobilité : le véhicule autonome
date 12/04/2021 - 15:28 | micro_reportage Marie Marquet
4 ans après le test concluant du franchissement d'une barrière de péage et 2 ans après la traversée d'une zone de travaux, les expérimentations se poursuivent sur le réseau VINCI Autoroutes. Et ce n'est plus de la science-fiction !

© VINCI Autoroutes
Mobilité : le véhicule autonome
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Imaginez le véhicule du futur... Une voiture qui se conduit toute seule, donc sans aucune intervention du conducteur, mais avec une autoroute intelligente ! Le véhicule autonome « dialogue » avec l'infrastructure. Les tests se poursuivent sur l'autoroute pour le développement du véhicule autonome, véritable enjeu d'avenir pour la mobilité. « La mobilité autonome, c'est un système, dans lequel il y a les véhicules, l'infrastructure et les usagers. Donc l'infrastructure a un rôle à jouer pour la mobilité autonome » précise Pierre Delaigue de VINCI Autoroutes. Il ajoute : « On se prépare par des expérimentations que nous menons essentiellement avec les constructeurs automobiles pour définir quelles seront les contributions de l'infrastructure au véhicule autonome. »
C'est une infrastructure physique et numérique qui est prête pour ces essais menés en région parisienne, comme l'explique Pierre Delaigue : « La toute première, ce sont les équipements physiques de la route comme les marquages au sol, les panneaux de signalisation. Et puis, il y a les couches de connectivité, pour aider à anticiper certaines situations à risques, comme des zones de travaux, des zones d'incidents, un accident, une congestion. Il faut de la connectivité, il faut pouvoir dialoguer entre l'infrastructure et le véhicule autonome. »
Des expérimentations ont lieu actuellement avec des prototypes, amenés à rouler en conditions réelles, parmi les autres véhicules avec toutefois, un opérateur à bord, qui peut reprendre le contrôle du véhicule dès que nécessaire. Ces expérimentations vont s’étaler jusqu’en 2023…
C'est une infrastructure physique et numérique qui est prête pour ces essais menés en région parisienne, comme l'explique Pierre Delaigue : « La toute première, ce sont les équipements physiques de la route comme les marquages au sol, les panneaux de signalisation. Et puis, il y a les couches de connectivité, pour aider à anticiper certaines situations à risques, comme des zones de travaux, des zones d'incidents, un accident, une congestion. Il faut de la connectivité, il faut pouvoir dialoguer entre l'infrastructure et le véhicule autonome. »
Des expérimentations ont lieu actuellement avec des prototypes, amenés à rouler en conditions réelles, parmi les autres véhicules avec toutefois, un opérateur à bord, qui peut reprendre le contrôle du véhicule dès que nécessaire. Ces expérimentations vont s’étaler jusqu’en 2023…
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