Une aide de 50 € pour réparer votre vélo !
date 03/01/2021 - 19:41 | micro_reportage Francine Thomas
Pour que l’utilisation de la bicyclette continue de faire toujours plus d’adeptes, l’État finance une partie de son entretien.
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Une aide de 50 € pour réparer votre vélo !
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Depuis mai dernier, le dispositif «Coup de Pouce Vélo» lancé par le ministère de la Transition écologique et solidaire, en partenariat avec la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), afin d'encourager l'usage du vélo comme moyen de transport, propose aux cyclistes une prime de 50 € pour financer la réparation et la reprise en main de votre vélo.
Dans votre rendez-vous juridique cette semaine sur le 107.7, Maître Éric de Caumont donne tout d’abord son sentiment à propos de cette aide : « Comme tout le monde n’a pas à sa disposition des vélos en libre-service, ni forcément les moyens d’investir […], c'est une excellente décision que de dire : vous ressortez un vieux vélo, on va vous aider à le remettre en état ! »
Mais à qui s'adresser pour l'entretien et la réparation de votre vélo ? Pour bénéficier de cette prime, si vous souhaitez faire appel à un proche, notre avocat spécialiste du droit routier explique que « ça ne marche que s’il est référencé », qu’il « soit sur le site officiel, qu’il ait fait la demande, qu’il ait été homologué, agréé ».
Concernant, d’ailleurs, d’éventuels « détournements » de ces aides par des « réparateurs à la sauvette » qui proposent à Paris (et ailleurs certainement) de dépanner gratuitement votre vélo, Me de Caumont est assez clair et prévient : « Je me méfie de tout ce qui n’est pas officiel […]. À un moment donné, il y a une addition à payer et il y a un problème qui se fait jour. Parce que si cela se trouve, ces petits réparateurs sont en cheville avec quelqu’un qui, lui, est agréé et qui démultiplie ses capacités de réparation et de se faire payer 50 € par des dizaines ou des centaines de petites mains qui arpentent les rues. À l’arrivée, c’est tout un réseau qui tombe et, qui sait, vous pouvez être inquiétés comme étant complice. »
Dans votre rendez-vous juridique cette semaine sur le 107.7, Maître Éric de Caumont donne tout d’abord son sentiment à propos de cette aide : « Comme tout le monde n’a pas à sa disposition des vélos en libre-service, ni forcément les moyens d’investir […], c'est une excellente décision que de dire : vous ressortez un vieux vélo, on va vous aider à le remettre en état ! »
Mais à qui s'adresser pour l'entretien et la réparation de votre vélo ? Pour bénéficier de cette prime, si vous souhaitez faire appel à un proche, notre avocat spécialiste du droit routier explique que « ça ne marche que s’il est référencé », qu’il « soit sur le site officiel, qu’il ait fait la demande, qu’il ait été homologué, agréé ».
Concernant, d’ailleurs, d’éventuels « détournements » de ces aides par des « réparateurs à la sauvette » qui proposent à Paris (et ailleurs certainement) de dépanner gratuitement votre vélo, Me de Caumont est assez clair et prévient : « Je me méfie de tout ce qui n’est pas officiel […]. À un moment donné, il y a une addition à payer et il y a un problème qui se fait jour. Parce que si cela se trouve, ces petits réparateurs sont en cheville avec quelqu’un qui, lui, est agréé et qui démultiplie ses capacités de réparation et de se faire payer 50 € par des dizaines ou des centaines de petites mains qui arpentent les rues. À l’arrivée, c’est tout un réseau qui tombe et, qui sait, vous pouvez être inquiétés comme étant complice. »
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