« Renaturer » les abords de l'autoroute
date 16/09/2022 - 14:24 | micro_reportage Marie Marquet
VINCI Autoroutes et l’ONF, l'Office national des forêts, s’engagent pour la restauration écologique de sites situés aux abords de l’autoroute. Il s’agit de renaturer le domaine autoroutier qui ne s'arrête pas aux limites des voies de circulation...
© VINCI Autoroutes
"Renaturer" les abords de l'autoro…
"Renaturer" les abords de l'autoroute
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Comment préserver les milieux naturels situés aux abords de l’autoroute ? C’est tout l’enjeu d’une convention récemment signée entre VINCI Autoroutes et l’ONF, l’Office national des forêts.
« La renaturation du domaine autoroutier, cela veut dire la restauration de milieux écologiques, de milieux naturels », explique Elise Bon de VINCI Autoroutes qui ajoute que « l'infrastructure autoroutière repose sur la route mais aussi sur les cotés de la route comme les échangeurs, les aires de services mais qui ne sont pas revêtus de bitume ».
Il s’agit d'un patrimoine géré par VINCI Autoroutes et composé de 28 000 hectares. Ce sont les dépendances vertes. « On dit dépendances, car elles servent à l'exploitation, à l'entretien, aux accès de l'autoroute ou au repos des clients lorsqu'ils vont sur les aires » précise Elise Bon.
Sur la base des études et d’analyses menées par l’ONF, ce sont 200 sites qui vont bénéficier de mesures de renaturation adaptées à chaque paysage. Par exemple, dans les Pays de la Loire près de la Roche-sur-Yon, sur le site de la Brétinière, « on a recréé une mare car on s'est rendu compte qu'il y a un milieu humide propice qui peut attirer toute une biodiversité, notamment des oiseaux » raconte Elise Bon.
Les 200 projets de restauration écologique seront réalisés d’ici à 2030…
« La renaturation du domaine autoroutier, cela veut dire la restauration de milieux écologiques, de milieux naturels », explique Elise Bon de VINCI Autoroutes qui ajoute que « l'infrastructure autoroutière repose sur la route mais aussi sur les cotés de la route comme les échangeurs, les aires de services mais qui ne sont pas revêtus de bitume ».
Il s’agit d'un patrimoine géré par VINCI Autoroutes et composé de 28 000 hectares. Ce sont les dépendances vertes. « On dit dépendances, car elles servent à l'exploitation, à l'entretien, aux accès de l'autoroute ou au repos des clients lorsqu'ils vont sur les aires » précise Elise Bon.
Sur la base des études et d’analyses menées par l’ONF, ce sont 200 sites qui vont bénéficier de mesures de renaturation adaptées à chaque paysage. Par exemple, dans les Pays de la Loire près de la Roche-sur-Yon, sur le site de la Brétinière, « on a recréé une mare car on s'est rendu compte qu'il y a un milieu humide propice qui peut attirer toute une biodiversité, notamment des oiseaux » raconte Elise Bon.
Les 200 projets de restauration écologique seront réalisés d’ici à 2030…
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